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Tonneins XIII joue la coupe et vise l'Elite

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Tonneins XIII vise le doublé. Première étape ce dimanche avec la finale de la coupe Déjean. (Photo : Tonneins XIII)

Tonneins XIII vise le doublé. Première étape ce dimanche avec la finale de la coupe Déjean. (Photo : Tonneins XIII)

Comme en 2011, les joueurs de l’équipe fanion de Tonneins XIII visent le doublé : coupe de France et Championnat.

Ce dimanche 26 mai 2019 à 16h, ils affrontent Réalmont en finale de la coupe Dejean.

La semaine suivante, ils reçoivent la même équipe de Réalmont, en demi-finale du championnat, avec, potentiellement, l’option de monter en Elite 2.

Le résultat d’une saison exceptionnelle pour le club de rugby tonneinquais qui a fini 1er de sa poule et qui n’a enregistré qu’une seule défaite… face à Réalmont.

De quoi motiver les gars de Thibault Leib et Ilyas Lamarti: cette fois, c’est la bonne! Et ils vont ramener la Coupe à la maison !


Seine-et-Marne. La Box briarde : un nouveau distributeur de paniers frais s'implante à Faremoutiers

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Elodie Guichard a fondé les Box Briardes. Elle vient d’implanter son 3e distributeur en Brie, à Faremoutiers.

Elodie Guichard a fondé les Box Briardes. Elle vient d’implanter son 3e distributeur en Brie, à Faremoutiers. (©Le Pays Briard)

Des produits fermiers locaux en libre-service, 7 j/7 et 24 h/24. C’est le concept de La Box Briarde, concept innovant lancée en Brie par Elodie Guichard il y a un an. Après Nesles et Fontenay-Trésigny, où les paniers partent comme des petits pains, c’est à Faremoutiers, dans la zone d’activité, qu’elle a souhaité implanter son troisième distributeur. « C’était un de mes choix premiers, car c’est une zone active et une demande de certains habitants », explique-t-elle.

Des produits locaux, de saison

Dans les 93 cases que compte la machine, Elodie Guichard propose uniquement des produits de saison, locaux, et issus d’une agriculture raisonnée. Ses distributeurs sont remplis plusieurs fois par jour pour garantir la qualité, chacun d’entre eux étant connecté à une application pour éviter les manques.

Tous ses fournisseurs, où elle se rend chaque jour, se trouvent dans un périmètre de 40 km, et la provenance de chaque article est toujours renseignée, permettant ainsi aux clients de pouvoir se déplacer directement chez les producteurs pour les rencontrer. À La Ferté-Gaucher, Marles-en-Brie, Courpalay, Saints, ou encore Nemours… « Cela crée une vraie boucle locale, c’est ce que je voulais », souligne Elodie Guichard.

Des paniers de huit produits pour 14 €

Le produit phare : les paniers composés de huit fruits, légumes et produits transformés dans les fermes alentours, comme du miel, du pain d’épices, de la compote ou encore de la bière, pour seulement 14 €. Pour ne pas lasser les clients, leur composition est modifiée tous les vendredis. Chaque semaine c’est donc une composition différente que propose Elodie Guichard. Dans la box, elle glisse également une recette spéciale, en rapport avec un produit de la semaine.

L’agricultrice propose aussi des pommes de terre, des œufs, et même des mélanges de blé et maïs concassés pour les animaux.

Le paiement se fait soit sans contact avec la carte bleue, soit par espèces. Pour la sécurité, chacune des machines est donc équipée de caméras.

Une quatrième implantation est d’ores et déjà prévue sur le secteur d’ici la fin de l’année 2019.

 

Infos pratiques
ZA, rue du Prés des Bourdeau à Faremoutiers, à côté du Kiosque à pizzas. Ouverture 7j/7, 24 h/24.

A Réguiny, le pôle de santé s'étoffe

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Le nouveau cabinet pluridisciplinaire accueille déjà quatre professionnels sur sept possibles.

Le nouveau cabinet pluridisciplinaire accueille déjà quatre professionnels sur sept possibles.

Le pôle santé de Réguiny continue de se renforcer avec l’ouverture d’un cabinet pluridisciplinaire qui accueille ses premiers professionnels mais qui sera inauguré à la rentrée de septembre.

Une référence

« Nous avions tout simplement de la demande. Même si l’inquiétude demeure sur notre bassin de vie avec notamment l’absence de médecins sur certaines communes, ici, notre pôle devient une référence. Il attire donc plus facilement… » résume le maire Jean-Luc Le Tarnec.

Car la collectivité a toujours fortement accompagné l’activité médicale. « Cela fait partie de nos priorités. En 2011, à la demande du médecin qui exerçait ici, nous avons investi dans l’acquisition de terrains pour y concevoir un lotissement pour toutes les activités liées à la santé ».

Bientôt un 3e médecin

Et voilà comment les premiers bâtiments sont sortis de terre. Avec tout d’abord un cabinet médical (avec le kinésithérapeute) sur lequel est venue se greffer la pharmacie. Puis dans un second temps, l’ambulancier, le vétérinaire et plus récemment le dentiste y ont aussi trouvé leur place.

À l’heure actuelle, la commune est proche de recevoir un troisième généraliste en cours de recrutement.

Lire aussi : L’école publique de Réguiny aura un nouveau toit en 2021

Mais la demande s’est aussi élargie à d’autres professionnels de santé. D’où la création d’un cabinet pluridisciplinaire.

Une sage-femme, un psychologue, une pédicure podologue, une ostéopathe y ont posé leurs sacoches. Et la commune recherche maintenant un orthophoniste.

Le bâtiment a été conçu pour recevoir jusqu’à sept professionnels ».

Avec notamment une salle de réunion qui peut se transformer en cabinet. Avec encore une petite chambre de garde qui permet à certains professionnels de rester sur place en fonction de leur garde ou de leur activité.

Encore deux terrains

L’ensemble aura coûté 310 000€ HT. Mais tout n’a pas été pris en charge par la commune qui a pu compter sur quasiment 50 % d’aides et de subventions.

Lire aussi : Le nouveau centre de secours de Réguiny sera opérationnel en 2019

Voilà désormais Réguiny parfaitement dotée dans le secteur médical. « Il nous reste encore deux terrains, deux lots si d’autres professionnels sont intéressés pour rejoindre la structure ».

Alors qu’à Pleugriffet ou encore Rohan, les deux maisons de santé peinent à trouver des médecins, à Réguiny, ce n’est donc pas l’offre qui manque.

Saint-Ouen-de-Pontcheuil : le Moulin Amour en lumières

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La façade du Moulin Amour était illuminée par les lumières du feu d'artifice. Les échassières ont été accompagnées d'une danseuse illuminée dans une bulle, la féerie était là. La soirée s'est terminée sur un lâcher de lanternes. Un concert original.

La façade du Moulin Amour était illuminée par les lumières du feu d’artifice. Les échassières ont été accompagnées d’une danseuse illuminée dans une bulle, la féerie était là. La soirée s’est terminée sur un lâcher de lanternes. Un concert original. (©Le Journal d’Elbeuf)

Samedi 18 mai 2019, à l’occasion du festival Pierres en lumières, le Moulin Amour de Saint-Ouen-de-Pontcheuil s’est paré de mille feux de lumière.

Pour la troisième édition du festival au Moulin Amour, le thème était « Les fées lumières ». La première année avait accueilli 300 personnes, une fréquentation en augmentation l’année dernière. Lise Lefranc, coordinatrice de l’événement, se dit ravie du nombre de visiteurs cette année : « plus de 300 personnes, c’est bien parce qu’il a beaucoup plu. » En effet, la météo a pu décourager certains visiteurs. Pourtant, la pluie a cessé et toutes les activités prévues ont été maintenues. Parmi les visiteurs, Coralie et Fabien, qui venaient pour la deuxième fois, attirés par le fait que ce soit « un spectacle en plein air ».

Habituellement payante, l’entrée était gratuite pour cette soirée. L’occasion de visiter le moulin, qui était ouvert, et d’en apprendre un peu plus sur la fabrication de la farine. D’ailleurs, à la buvette, où l’ambiance guinguette se faisait sentir avec une guirlande lumineuse, on pouvait consommer des crêpes réalisées avec la farine du moulin.

Lors de cette soirée enchanteresse, les spectateurs ont pu déambuler sur le site et assister à un concert de Nyckelharpa et de Kora. Une association musicale qui ne sétait jamais vue auparavant.

Des échassières ont accueilli les visiteurs et quand la nuit est tombée, elles se sont illuminées avant de danser avec le public. Une danseuse, elle aussi tout en lumière, a émerveillé les spectateurs de sa grâce et sa légèreté, en interprétant quelques mouvements de danse dans une bulle.

Un feu d’artifice a permis de montrer le Moulin Amour dans toute sa splendeur, l’éclairant de toutes parts et révélant sa façade en colombages à chaque éclat de lumière.

Après un tirage au sort, quarante familles ont pu allumer des lanternes, qui ont brillé dans le ciel en s’envolant tel des confettis d’étoiles.

Amazon imagine un bracelet connecté, capable de détecter nos émotions

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Le géant du e-commerce Amazon réfléchit à la création d'un bracelet connecté, capable de déceler nos émotions.

Le géant du e-commerce Amazon réfléchit à la création d’un bracelet connecté, capable de déceler nos émotions. (©E.A/Actu.fr)

Et si un bracelet pouvait détecter votre humeur ? C’est le nouveau projet (un peu fou) imaginé par le géant Amazon. Son nom : Dylan.

Grâce à la lecture de documents internes et un témoignage recueilli en interne, le site Bloomberg révèle que la firme américaine se penche sur la création d’un bracelet, capable de déceler les émotions humaines grâce à la voix. 

Lire aussi : Blue Moon : le projet fou de Jeff Bezos, patron d’Amazon, pour conquérir la Lune

Changement d’intonation de la voix

Ce bracelet est équipé de plusieurs micros. Il est relié à une application capable de reconnaître l’état émotionnel du porteur, en fonction des tonalités de sa voix.  

La firme américaine n’a jamais caché son intention de développer son assistant vocal Alexa. Le bracelet pourrait-il être le vecteur de lien entre l’utilisateur et Alexa ? Il est encore trop tôt pour le dire. 

Mais en 2017, Amazon avait déposé un brevet pour une technologie capable de détecter les anomalies physiques et émotionnelles.

Dans une vidéo réalisée par Bloomberg, le fonctionnement de ce système est précisé. On y voit une femme, en train de renifler, signifier à Alexa qu’elle a faim. Grâce au soin de sa voix, l’assistant vocal constate qu’elle est enrhumée et lui propose un plat correspondant à son état de santé, en l’occurrence, une soupe.

Un autre brevet a été déposé par la société : un système qui permet de distinguer la voix de l’utilisateur des bruits environnementaux. 

Selon la presse américaine, ce bracelet connecté pourrait être utilisé à des fins de santé et de bien-être. Mais pas que. La publicité ciblée et les recommandations de produits découleraient également de son utilisation. Un aspect non négligeable dans les stratégies marketing des entreprises.

À quand une commercialisation ? 

Cette idée est le fruit d’une collaboration entre Amazon et le groupe Lab126, à l’origine des principaux produits matériels d’Amazon.

Le géant du e-commerce ne s’est, pour l’instant, pas exprimé sur le sujet. Régulièrement, les équipes sont encouragées à développer de nouveaux projets, mais tous ne font pas l’objet d’une commercialisation. Pour l’heure, ce bracelet est en cours d’expérimentation.

Cette volonté de traduire les émotions en données n’est pas nouvelle. En France, la start-up Néotrope, a imaginé, dans la même veine, le bracelet « Affect Tag ». Rythme cardiaque, sudation : « c’est un peu le principe du détecteur de mensonge mais portatif », confiait Olivier Janin, son PDG. 

Au quotidien, la mise en service d’un tel objet interroge : quelle sécurité autour de nos données personnelles ? Peut-on vraiment transformer le ressenti en données numériques ? 

Un repas spectacle avec l'humoriste Olivier Lejeune au casino de Bagnoles-de-l'Orne-Normandie

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A 68 ans Olivier Lejeune a encore gardé toute sa verve.

A 68 ans Olivier Lejeune a encore gardé toute sa verve.

Comédien, metteur en scène, humoriste, auteur (théâtre, télévision, jeux) : à 68 ans, Olivier Lejeune affiche une carrière riche et brillante.

Star du rire

Né le 12 mai 1951, cet Orléanais d’origine s’est fait connaître au début des années 70 avec son compère de l’époque Patrick Green.

Lauréats du prix des jeunes chansonniers au Théâtre de Dix heures, ils assurent les premières parties de Moustaki, Brassens, Le Luron, Dalida, Claude François, Balavoine, Lama… Paul Lederman devient leur producteur. Ils vendent plus de deux millions de 45 tours, remplissent les salles de spectacle mythiques et apparaissent dans les plus grandes émissions de variétés présentées par Le Luron, Bouvard, Drucker, Guy Lux…

Redevenu soliste en 1982, Olivier Lejeune crée son premier one-man-show. Lauréat du prix Fernand Raynaud, il écrit également énormément pour les autres (Patrick Sébastien, Yves Lecoq, Michel Leeb, Gérald Dahan). On le verra alors dans les émissions de divertissement mythiques : le Petit Théâtre de Bouvard, La Classe avec Fabrice, mais aussi Les Grosses Têtes de Philippe Bouvard, et plus récemment chez Patrick Sébastien.

Il gratte là où ça fait mal

Sur scène, dans son nouveau one-man-show Je ne devrais pas vous le dire, Olivier Lejeune dit tout haut ce que tout le monde pense tout bas.

Il gratte là où ça fait très mal en décochant ses flèches contre tout ce qui bouge : politiciens, stars du show-biz, faits de société… bref, tout ce dont les médias parlent !

Il s’amuse avec les symboles fondamentaux de notre société pour mieux les détourner. Olivier Lejeune est un provocateur impétueux du rire, un artisan perpétuel de la farce.

Un humour efficace, corrosif, sans vulgarité. Pas le temps de s’ennuyer.

 

Jeudi 6 juin au casino : 12 h, déjeuner salle Majestic, 21 € (spectacle compris) ; 14 h 30, salle Jean-Gabin, 15 € (12 €, carte Emeraude et curistes). Réservations : 02.33.37.84.00 ou www.casino-bagnolesdelorne.com

A Luneray, les cloches de l'église vont de nouveau sonner

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Les élus ont visité le chantier lundi 20 mai. La deuxième phase des travaux s’élève à 369 000 €.

Les élus ont visité le chantier lundi 20 mai. La deuxième phase des travaux s’élève à 369 000 €. (©Les Informations dieppoises)

Les travaux de restauration de l’église de Luneray (Seine-Maritime) se poursuivent sous la maîtrise d’oeuvre de Régis Martin, architecte en chef des Monuments historiques.

La deuxième phase porte sur la restauration du clocher et son campanaire, les travaux ont débuté le 4 octobre 2018 et doivent s’achever fin juin 2019.

Lundi 20 mai, le maire Martial Hauguel et quelques élus du conseil municipal sont montés tout en haut du clocher pour visiter le chantier et découvrir les trois cloches récemment refaites par l’entreprise Biard-Roy de Sainte-Austreberthe.

L’histoire des trois cloches

Les cloches ont été restaurées par l’entreprise campanaire Biard Roy.

Les cloches ont été restaurées par l’entreprise campanaire Biard Roy. (©Les Informations dieppoises)

Les trois cloches : Marie-Adrienne, Clotilde Marie Renée et Louise, devraient pouvoir de nouveau sonner rapidement et sur de bonnes notes !

Les trois cloches de l’église ont été fondues par Pierre Bure, maître fondeur de Rouen, et montée en 1669.

En 1793, le clocher n’a plus qu’une cloche, il s’agit de Louise. En 1860, l’abbé Grenier décide de remplacer les deux cloches manquantes, l’une a été offerte par Nicolas Capron, alors maire de l’époque, et la seconde financée en partie par le curé, par un adjoint et avec une souscription paroissiale.

Lire aussi : A Luneray, Vincent Renoux a la trompette chevillée au corps

La bénédiction des deux cloches s’est déroulée le 20 novembre 1860 en présence d’une foule importante.

La plus petite : Clotilde Marie Renée pèse 422 kg et donne la note sol, la moyenne Marie-Adrienne pèse 545 kg et donne le fa !

En 1899, Louise la plus grosse cloche qui pèse 850 kg, a été refondue elle aussi, elle donne le mi. Les cloches ont été électrifiées en 1935.

Le clocher le plus haut

Travaux de maçonnerie, de charpente et de couverture ont également été réalisés sur le clocher, tour carrée en briques construite au 17e siècle.

La petite histoire veut que la charpente de la flèche provienne du débris de l’ancien prêche protestant. Une version qui semble cependant peu probable.

Lire aussi : La com’com Terroir-de-Caux ne financera pas les nouveaux vestiaires du stade de Luneray

Ce qui est vrai en revanche, c’est qu’en 1877, le clocher a été surélevé de quelques mètres supplémentaires pour atteindre les 47 mètres de hauteur.

Tout simplement parce que le maire de l’époque voulait avoir le clocher le plus haut des environs !.

Le Rallye des Rouleurs de Belles Mécaniques est passé par la caserne d'Elbeuf

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L'acteur Olivier Pagès (série TV Femmes de loi, Plus belle la vie, etc.) au milieu de ses copains les pupilles.

L’acteur Olivier Pagès (série TV Femmes de loi, Plus belle la vie, etc.) au milieu de ses copains les pupilles.

L’association Rouleurs de Belles Mécaniques Andrésiennes (RBMA), que préside Vincent Marchand, organisait, samedi 18 et dimanche 19 mai, un circuit touristique en Normandie avec, comme point de chute, l’intercommunalité Normandie Cabourg Pays d’Auge. Ils étaient de passage à la caserne d’Elbeuf, samedi matin.

Vincent Marchand, son président, a expliqué à son arrivée, à Elbeuf : « Nous offrons durant ces deux jours une super balade à des pupilles majeurs ainsi qu’à des pupilles mineurs accompagnés. L’accueil qui nous est réservé, par toute une caserne, nous fait chaud au cœur. »

Ce rallye champêtre, qui avait donc débuté tôt dans la journée (puisque marqué par un départ dès 6 h), en Yvelines, voyait sa première escale à 9 h, à Elbeuf.

Trente véhicules de collection

C’est à l’heure prévue que l’imposante caravane de plus de trente véhicules de collection, menée par une légendaire Mustang, suivie d’une vénérable Buick 1951, derrière laquelle rugissait une Ferrari, est arrivée. Une vingtaine de pupilles ravis ont pu profiter de l’événement.

Sur place, pour les accueillir : le maire d’Elbeuf, Djoudé Merabet, Pascal Martin le président du Département et André Gautier, le président du SDIS 76 et des élus des communes voisines.

« Elbeuf était connu pour ses motos et ses puces, il le sera désormais pour ses voitures de collection », a souligné Djoudé Merabet, heureux de concrétiser par cet accueil les relations étroites existant entre la municipalité et le corps des sapeurs pompiers.

À leur tour, André Gautier et Pascal Martin remerciaient la RBMA, les pompiers et l’Œuvre des pupilles des pompiers (ODP).

« Ça va déchirer ! »

Le départ s’est effectué dans une excellente ambiance mais dans une sécurité absolue, en direction de Pont-l’Évêque, où le déjeuner était prévu ainsi qu’une formidable balade en Pays d’Auge.

La soirée de samedi, dite de gala, avec 230 personnes s’annonçait grandiose, avec la présence de personnalités du spectacle comme Olivier Marchal, Fanny Bastien, Laurent Olmédo et bien d’autres.

Le dimanche était réservé à une initiation de kitesurf pour les pupilles et à un pique-nique sur la plage avant un retour à Chanteloup.

« Ça va être super, ça va déchirer », annonçait Raphaël, pupille de 12 ans et passager d’une bien belle américaine.


Manche : un lycéen retrouvé pendu dans son établissement

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Les gendarmes sont intervenus au lycée du Hommet-d'Arthenay vendredi.

Les gendarmes sont intervenus au lycée du Hommet-d’Arthenay vendredi. (©Archives Publihebdos Illustration)

Un lycéen de 17 ans a été retrouvé pendu vendredi 24 mai dans le lycée agricole de Thère, au Hommet-d’Arthenay (Manche), où il était scolarisé.

Il a été retrouvé vendredi après-midi dans l’un des hangars du lycée agricole », a indiqué la gendarmerie de Saint-Jean-de-Daye.

Les sapeurs-pompiers envoyés sur place n’ont rien pu faire pour le sauver.

Le jeune homme était en terminale professionnelle Conduite et gestion de l’entreprise agricole. Il devait passer le bac en juin.

Une enquête a été ouverte par le parquet de Coutances.

Avec AFP

A Vitré, Jean-Luc Orrière, nouveau président des Gais Lurons

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Joël Morlier et Jean-Luc Orrière lors de la passation de la présidence

Joël Morlier et Jean-Luc Orrière lors de la passation de la présidence

À 59 ans, Jean-Luc Orrière, a été élu président du comité des Gais Lurons lors de la réunion de bureau du comité qui a suivi la 60e édition du carnaval.

Lire aussi : Carnaval des Gais Lurons à Vitré : la der de Joël Morlier en 2019

Ambulancier à Vitré depuis trois décennies, il revient sur la découverte des coulisses de la manifestation.

C’était en 1999 en tant que bénévole autour d’un char. L’année de ma classe, nos 40 ans, un souvenir indéfectible. »

Ensuite, il a appris les rouages de la construction d’un char en intégrant l’équipe du char des Bricolurons, toujours pilotée par Dominique Froc.

Une belle expérience qui durera sept ans. »

Photographe bénévole

En 2007, en effet, Jean-Luc Orrière entre dans le bureau pour prendre le poste de responsable des groupes de musique en tandem avec Gilbert Givry.

Lire aussi : Vitré : dernier carnaval pour trois piliers des Gais Lurons

C’est lui qui m’a appris les ficelles du métier. »

Mais le public le connaît surtout en tant que photographe qui excelle dans les prises de vues, en référence aux photos exposées notamment lors des portes ouvertes.

J’ai pris cette fonction au pied levé il y a une dizaine d’années parce que la personne qui devait assurer le reportage a eu un problème technique de dernière minute. »

Aujourd’hui, il travaille bien sûr tout en numérique.

« Il y a 5 ans, j’aurais dit non »

Joël Morlier avait très tôt anticipé son départ. 

Seul Jean-Luc lui a répondu : « Je vais réfléchir ». Après quelques mois, « une longue réflexion quand même », il saute le pas. « Il y a 5 ans, j’aurais dit non. »

Lire aussi : Vitré : dernier carnaval pour trois piliers des Gais Lurons

Et de confier : « J’ai pensé aux horaires irréguliers dans mon travail, mais, aujourd’hui, j’ai moins d’astreintes de week-end. »

Jean-Luc Orrière entend poursuivre l’œuvre de ses prédécesseurs. « On est arrivé à une 60e édition grâce aux responsables successifs. »

Il n’oublie pas l’armada des bénévoles qui n’ont de cesse de dévoiler leurs talents, aussi bien côté chars que côté costumes.

« Sans eux, on ne pourrait pas faire la fête. »

Au hangar, on se prépare déjà à la 61e édition qui aura lieu le 5 avril 2020 pour le carnaval de jour et le 18 avril pour le carnaval de nuit.

Le bureau se compose désormais de Jean-Luc Orrière (président), Louis-Claude Montigné et Alain Busson (vice-présidents), Anita Perrier (secrétaire) et Nathy Louin (trésorière).

Expliquer le D-Day aux enfants : « La guerre, c'est pas Fortnite, c'est la mort »

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Comment expliquer le D-Day aux enfants ? À la Ligue de l'enseignement, on essaye de leur faire comprendre que la paix est fragile.

Comment expliquer le D-Day aux enfants ? À la Ligue de l’enseignement, on essaye de leur faire comprendre que la paix est fragile. (©ML/Normandie-actu)

Le Débarquement et la Bataille de Normandie, avec ses milliers de morts, ne sont pas toujours évidents à aborder avec les enfants. Pour les animateurs du centre des Tamaris de la Ligue de l’enseignement à Asnelles (Calvados), c’est toute une stratégie pour attirer l’attention des bambins et leur faire comprendre ce qu’est la paix.

Lire aussi : DDay : L’incroyable histoire de Daniel Fischer, incorporé de force dans la Waffen SS

« C’est impressionnant tous ces morts »

Une grande partie de l’année, le centre des Tamaris d’Asnelles accueille des classes découvertes de toute la France. Mercredi 15 mai 2019, c’est une classe de CM1 de Montville, près de Rouen (Seine-Maritime) qui visite les plages du Débarquement.

Après avoir rencontré un ancien résistant déporté, Bernard Duval, visité la batterie de Longues-sur-Mer, les 24 élèves enchaînent avec le cimetière américain de Colleville-sur-Mer, puis la Pointe du Hoc et le cimetière allemand de La Cambe. Un véritable emploi du temps de ministre.

Dans le dédale des tombes américaines, Gabrielle, 10 ans et Anaïs, neuf ans, semblent médusées : « C’est impressionnant tous ces morts », soufflent-elles. Après avoir circuler dans le gigantesque cimetière, appareils photos jetables en main, les 24 élèves se retrouvent face à la mer.

Lire aussi : Histoires oubliées du D-Day. Le mauvais temps, cet autre ennemi des alliés

Le témoignage d’un soldat américain

« Près de 1 500 soldats sont morts ou ont disparus sur cette plage, explique Valentin Dony, animateur à la Ligue de l’enseignement. Cette plage a été surnommée Bloody Omaha pour Omaha la sanglante. Il y avait tellement de sang que la mer n’était plus bleue mais rouge ! Vous vous rendez compte ? »

Lire aussi : Histoires oubliées du D-Day. Quand les vers de Verlaine ont servi de message aux résistants

Les enfants ont les yeux écarquillés. « Je vais vous lire le témoignage d’un soldat américain, Melvin B.Farrell, qui en parlera mieux que moi », poursuit l’animateur :

Tout cela semblait irréel, une sorte de rêve éveillé, les hommes criaient et mouraient tout autour de moi. […] Honnêtement, j’aurais pu marcher sur toute la longueur de la plage sans toucher le sol que les corps jonchaient.

« La guerre, c’est pas Fortnite, c’est la mort »

Dans leurs yeux d’enfants, on peut voir les émotions passer. De la surprise, de la tristesse et certainement bien d’autres choses encore. « Quand je vois la mer bleue là, je n’arrive pas à imaginer qu’elle était rouge, rouge de sang. Ça, non, je n’arrive pas à l’imaginer », assure Florent, du haut de ses neuf ans.

Lire aussi : 75e anniversaire du Débarquement. Deux journalistes publient un nouveau recueil d’histoires insolites

Pour capter l’attention des enfants, Valentin Dony essaie de leur faire passer un maximum d’émotions. « Les dates, les noms, ce n’est pas le plus important. Par les témoignages, les descriptions, le ressenti, on essaie de leur procurer des émotions, c’est ce qui marche le mieux. »

Par le biais de cet itinéraire pour la paix, « on essaie de leur faire comprendre pourquoi la paix est fragile, que la guerre, c’est pas Fortnite, c’est la mort, c’est sanglant, c’est terrible. »

Charlotte, Anaïs et Gabrielle, de gauche à droite, sont toutes trois passionnées par l'histoire.

Charlotte, Anaïs et Gabrielle, de gauche à droite, sont toutes trois passionnées par l’histoire. (©ML/Normandie-actu)

Ne pas avoir une vision binaire de la guerre

La dernière étape de leur journée, c’est la visite du cimetière allemand à La Cambe. « C’est un passage important. On ne veut pas que les enfants rentrent avec une vision binaire, les Américains sont des héros, les Allemands sont des méchants », souligne Stéphane Cauchois, l’enseignant de la classe de CM1 de Montville.

Lire aussi : La question pas si bête. Sword, Juno, Gold… D’où viennent les noms des plages normandes du D-Day ?

Dans le cimetière allemand, les dates de naissance des soldats sont écrites, contrairement aux tombes du cimetière américain. « Je leur dis que certains n’avaient que 17 ou 18 ans, l’âge de leur grande sœur ou de leur grand frère. L’idée est qu’ils comprennent que beaucoup d’Allemands étaient très jeunes et n’étaient pas forcément pour Hitler », souligne Valentin Dony.

Après cette journée forte en émotions, les enfants vont pouvoir se détendre le temps d’un petit jeu sur la plage d’Asnelles, face aux caissons phoenix, les vestiges du port artificiel d’Arromanches.

Lire aussi : QUIZ. Êtes-vous incollable sur le Débarquement de Normandie ? Testez vos connaissances !

Infos pratiques :
Normandie tourisme propose des visites adaptés au public jeune pour découvrir l’histoire de la bataille de Normandie de manière ludique. Tour en jeep dans un véhicule d’époque, visites théâtralisées nocturnes, expérience immersive à bord d’un avion C-47… De nombreuses idées sont proposées sur le site web de Normandie tourisme.

Montpellier-Castelnau-le-Lez : il menace employés et clients d'une pizzéria avec une faucille

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ILLUSTRATION. Livreur de pizzas

ILLUSTRATION. Livreur de pizzas (©D.R.)

Un habitant de Castelnau-le-Lez en état d’ivresse a été interpellé vendredi soir par les gendarmes, après avoir fait brusquement irruption dans une pizzéria du quartier de la Pompignane, en limite de Montpellier et de Castelnau-le-Lez, armé d’une faucille.

Surexcité, il a menacé les clients et les employés, dont un des livreurs de pizzas à qui il reprochait de lui avoir coupé la route sur son scooter, quelques instants plus tôt dans le secteur.

Un gendarme en civil était attablé

Mécontent, le conducteur qui a réussi à éviter le choc l’a poursuivi jusque devant la pizzéria d’une enseigne connue, avant de s’armer d’une faucille qu’il avait à bord et de pénétrer dans l’établissement pour demander des comptes et des excuses au jeune livreur.

Un gendarme de la compagnie de Castelnau-le-Lez en civil, attablé dans la pizzéria a discrètement alerté ses collègues qui étaient en patrouille et qui sont rapidement intervenus. Ils ont intercepté le conducteur irascible, qui a été placé en garde à vue à la brigade de gendarmerie de Castelnau-le-Lez.

En état d’ivresse, il conduisait par ailleurs sa voiture alors qu’il est sous le coup d’une annulation de son permis de conduire, après une récente condamnation judiciaire. En récidive d’un délit routier et armé de plus d’une arme blanche prohibée, il sera déféré au parquet de Montpellier, ce lundi et jugé en comparution immédiate au tribunal correctionnel.

Près de Caen : elle quitte son compagnon, il lui pourrit la vie et finit au tribunal

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L'association Relais 77 aide les victimes à sortir du silence

De novembre 2018 à janvier 2019, à Hérouville Saint-Clair, près de Caen, un homme de 36 ans a quotidiennement harcelé son ex-compagne, qui venait de le quitter. Il a été condamné par le tribunal de Caen (©Illustration AdobeStock)

Agé de 36 ans, Guillaume* a comparu jeudi 23 mai 2019 devant le tribunal correctionnel de Caen (Calvados) pour harcèlement amenant à la dégradation des conditions de vie. Les faits ont eu lieu de novembre 2018 à janvier 2019 à Hérouville Saint-Clair.

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Deux mois de harcèlement constant

Après dix ans de vie commune, sa compagne le quitte en novembre 2018. Dès lors, Guillaume va s’ingénier à lui pourrir la vie l’amenant à un arrêt de travail pour troubles psychologiques réactionnels.

Pour exemple, il lui vole des objets (son téléphone portable dans son sac à main, une écharpe dans sa voiture), dégrade son véhicule dans son garage, tente d’ouvrir la porte de son domicile avec un tournevis, se présente sur son lieu de travail, la noie de SMS (plus de 60 par jour), publie des photos de sa famille sur les réseaux sociaux, la menace de mort…. Il la suit partout, lui rappelant : « je suis toujours là ».

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Il admet « avoir perdu le contrôle »

Sous curatelle, Guillaume souffre de troubles de l’affectivité et de manque d’empathie sans réelle pathologie psychiatrique. Il admet à la barre « avoir perdu le contrôle de la situation ».

Alors qu’il envisage pour tourner la page de s’engager dans la Légion étrangère, le procureur lui fait remarquer que la Légion « a besoin d’hommes réactifs, pas compulsifs », tout en considérant que cela pourrait être une solution pour canaliser ses débordements, le structurer et mettre la victime à l’abri…

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Quatre mois de prison avec sursis

Il écope finalement de 4 mois de prison avec sursis. Il devra en outre verser 1 500 euros de préjudice moral (sur les 5 000 demandés, l’altération du discernement ayant été retenue) à la victime, de 500 euros de frais de justice et d’une injonction de soins.

* prénom d’emprunt

Elections européennes : à Saint-Pardon-de-Conques, la mairie offre chocolatines, café et jambon aux votants

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Delphine Chauvin, Benoît Guerrero, Guillaume Pelletier et Emmanuel Ruellan, élus de Saint-Pardon-de-Conques (Gironde).

Delphine Chauvin, Benoît Guerrero, Guillaume Pelletier et Emmanuel Ruellan, élus de Saint-Pardon-de-Conques (Gironde). (©Le Républicain)

A Saint-Pardon-de-Conques, près de Langon (Gironde), on sait recevoir. En ce dimanche 26 mai, jour des élections européennes, la mairie propose un encas aux votants.

Au menu : du jambon de pays, des chololatines, de croissants, des pains aux raisins, du jus d’orange, d’ananas et du café.

Une tradition locale

Pour la commune, qui compte 450 inscrit sur les listes électorales, c’est surtout l’occasion de créer encore un peu plus de lien avec ses habitants.

Lire aussi : Élections européennes 2019 : l’heure du vote a sonné en France

Emmanuel Ruellan, conseiller municipal de Saint-Pardon-de-Conques, raconte :

On le fait à chaque élection. Ce petit-déjeuner a toujours été proposé

Le résultat ? Les habitants ne se privent pas, au sortir de l’isoloir, pour prendre un petit jus et tailler la bavette. « Tout ça contribue, aussi, à mettre en avant ces élections européennes », enchaîne Guillaume Pelletier, élu municipal.

La mairie de Saint-Pardon-de-Conques n’a pas fait les choses à moitié puisqu’elle a carrément créé un événement sur sa page Facebook pour inciter les habitants à se déplacer jusqu’aux urnes.

Voter c’est important !C’est aussi un moment convivial.Nous vous attendons avec café, croissant, charcuterie…. et bonne humeur.

Publiée par Commune de Saint Pardon de Conques sur Samedi 25 mai 2019

Convivialité, simplicité, échanges… Voilà les recettes du succès pour cette petite commune de l’arrondissement de Langon. A Benoît Guerrero, conseiller municipal, de conclure :

C’est pour ça que les gens restent à Saint-Pardon ! Pour les viennoiseries aux élections 

Langue française. L'introduction de nouveaux mots dans les dictionnaires divise dans l'Orne

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et comptent tous deux 60 000 entrées. La part des nouveaux mots reste donc marginale

Le Petit Robert et Le Petit Larousse comptent tous deux 60 000 entrées. La part des nouveaux mots reste donc marginale.

Les mots « adulescence », « coworking » ou « locavorisme » ne vous sont peut-être pas familiers. Pourtant, les voici intégrés dans les éditions 2020 des deux dictionnaires de référence, Le Petit Larousse et Le Petit Robert, sortis les 16 et 22 mai. Les éditeurs de ces ouvrages ont axé leur promotion sur l’intégration de ces entrées, conférences de presse à l’appui.

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Leur nombre relativement réduit s’explique par un sévère processus de sélection. Pour le Larousse, 5 000 mots étaient en « compétition », pour seulement 150 élus. Cette valeur tombe même à 109 pour son concurrent. Pour être choisi, un mot doit être entré dans les usages, ne pas être technique et être emblématique d’un fait de société.

Divulgâcher, millenial, jober

Rencontré à La Ferté-en-Ouche (Orne), Rémi considère que « l’emploi des mots est une question de mode ». Les nouvelles entrées correspondent en effet à l’évolution de la société. « Divulgâcher » (pendant français de « spoiler ») répond au développement des séries TV tandis que « millenial » définit les personnes devenues adultes aux environs de l’année 2000. Entre deux gorgées de café, le sexagénaire fait une observation.

L’évolution de la langue permet de réévaluer le sens des mots. La « bonne à tout faire » a été revalorisée en « employée de maison ».

Le mot d’origine belge « jober » rejoint ainsi les plus traditionnels « travailler » ou « bosser ».

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Michel et Frida sont, eux, bien réticents à l’intégration de ces nouveaux mots dans lesquels ils ne se retrouvent pas. « Darknet » et « cardiotraining » ne leur évoquent pas de réalité concrète.

La langue française est importante pour nous. Je préfère aux mots importés d’autres langues ceux écrits avec des racines latines ou grecques.

S’adapter aux usages

Les éditeurs assurent pourtant que le nombre de mots anglais reste stable depuis un siècle et demi, les nouvelles entrées remplaçant les anciennes qui ne sont plus utilisées. Car le dictionnaire a pour vocation à s’adapter aux usages et à relater le dynamisme de la langue. Les nouveaux mots sont déjà utilisés avant d’entrer dans l’usuel. Interrogé sur le sujet, un sexagénaire est lui favorable à cette introduction.

Je trouve important que la langue suive l’évolution de l’époque. Elle précise le sens des mots nouveaux que l’on emploie parfois sans vraiment les connaître.

Lire aussi : 25 élèves de l’école Sainte-Thérèse et du groupe scolaire Edgar Degars de Gacé reçoivent leur dictionnaire

Plus directement concernés par ces nouveaux termes, les 20-35 ans se révèlent bien plus favorables à ces ajouts. La quinzaine de membres de cette tranche d’âge interrogés se prétend dans sa totalité favorable à cette introduction de mots dont elle pourrait trouver l’utilité au quotidien. Elle connaît également les nouvelles personnalités intégrées aux noms propres. Kylian Mbappé et Antoine Griezmann retrouvent là leurs prédécesseurs Raymond Kopa ou Michel Platini. Rémi est lui bien plus mesuré.

Je ne vois pas la nécessité de mettre des sportifs. Chacun de nous a une part de gloire, bien que la nôtre soit inconnue. C’est une sorte de ségrégation.

L’introduction de ces nouveaux mots fait donc « cliver ». Tiens, voici un autre mot ajouté dans les dictionnaires.


Sarthe : De nouvelles caméras vont être installées à Bonnétable

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Trois nouvelles caméras de vidéosurveillance vont être installées à Bonnétable (@La Gazette du Val d'Oise - photo d'illustration)

Trois nouvelles caméras de vidéosurveillance vont être installées à Bonnétable (@La Gazette du Val d’Oise – photo d’illustration)

L’installation d’une aire de jeux sur le site du camping de Bonnétable (Sarthe) a été votée par les élus. À l’occasion du dernier conseil municipal, c’est une autre délibération qui était sur la table des conseillers : celle de l’extension de la vidéoprotection dans la commune.

Frédéric Barré, maire, a expliqué :

Nous avons fait réaliser un devis pour la protection du site. Puis élaboré une demande de subvention auprès du Préfet, qui nous a répondu que notre dossier avait été rejeté parce qu’il ne concerne pas la sécurité sur les voies routières.

Lire aussi : Sarthe : A Bonnétable, le projet de Maison de santé est à l’arrêt

20 caméras en tout

Pour autant, le projet de surveillance du site n’est pas abandonné. Trois caméras devraient être installées pour un devis qui s’élève à 23 111 euros.

Et qui portera à vingt le nombre d’appareils sur la commune, comprenant celles mises en place pour la protection des bâtiments publiques.

Lire aussi : En Sarthe, bientôt des « piéto® » aux abords de l’école maternelle de Bonnétable

Toulouse. 60 000 spectateurs aux concerts de Bigflo & Oli au Stadium, les Toulousains conquis

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Bigflo et Oli, lors du premier concert au Stadium, vendredi 24 mai 2019.

Bigflo et Oli, lors du premier concert au Stadium, vendredi 24 mai 2019. (©Frédéric Scheiber / Actu Toulouse)

Samedi 25 mai 2019, les frangins Bigflo & Oli ont poursuivi leur rêve en donnant un deuxième concert au Stadium de Toulouse, plein à craquer pour l’occasion. Devant plus de 33 000 spectateurs, les deux rappeurs ont fait le show. 

Au total, plus de 60 000 personnes ont assisté à leur deux concerts… Du jamais vu à Toulouse !

Lire aussi : EN IMAGES. Toulouse : les deux frérots Bigflo & Oli ont enflammé le Stadium

Le concert en images 

Pour leur second concert, cette fois-ci épargné par la pluie, les deux rappeurs de la Ville rose, âgés de seulement 23 et 26 ans, ont interprété leurs nombreux succès pendant plus de deux heures, comme « Dommage », « Nous Aussi 2 », « Papa », ou encore « Plus Tard »

Contrairement à vendredi, Black M, Soprano et Squeezie n’étaient pas présents mais leur père, Fabian Ordonez, est à nouveau monté sur scène, tout comme les Youtubeurs McFly & Carlito

Voici les images de ce second concert inédit :

Lire aussi : VIDÉO. Zebda ou Nougaro ? Capitole ou Saint-Pierre ? Le Toulouse de… BigFlo & Oli

Les Toulousains leur disent merci ! 

Sur les réseaux sociaux, les Toulousains ont remercié chaleureusement Bigflo & Oli pour ces deux concerts exceptionnels au Stadium, dont ils se souviendront longtemps  ! 

Lire aussi : Bigflo & Oli au Stadium de Toulouse : revivez le premier concert dans les conditions du direct

PHOTOS. Près de 300 jeunes et anciens sapeurs-pompiers ont paradé à Vire Normandie

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Les sapeurs-pompiers ont défilé dans les rues de Vire Normandie samedi 25 mai 2019.

Les sapeurs-pompiers ont défilé dans les rues de Vire Normandie samedi 25 mai 2019. (©La Voix Le Bocage)

Une première à Vire Normandie. 220 jeunes JSP et 60 anciens sapeurs-pompiers ont été réunis samedi 25 mai 2019 pour une magnifique parade, qui a ébahi le public massé au rond-point.

C’est super-beau. C’est la première fois que je vois ça dans notre ville », souligne Sylvie.

Une cérémonie à la Porte-Horloge fut donnée en hommage aux pompiers du Calvados tombés dans leur service. Le capitaine Patrick Blanchet, président de l’union des sapeurs pompiers (UDSP) du Calvados, a organisé ce rassemblement intergénérationnel aux côtés de l’amicale des sapeurs-pompiers de Vire.

Fiers de nos anciens qui nous ont montré le chemin de l’engagement citoyen. Qui nous ont appris le respect et les valeurs que les sapeurs-pompiers partagent, toujours prêts à s’engager pour les autres. Fier de nos 270 jeunes sapeurs pompiers composant nos 18 sections départementales implantées sur l’ensemble du département. Vous êtes la fierté de l’union départementale mais aussi de vos animateurs ».

Le matin, les JSP participaient aux épreuves écrites et l’après-midi aux manœuvres incendies. Les JSP1, 2 et 3 finaliseront leur année d’apprentissage et accéderont, en cas de réussite, à l’échelon supérieur.

C’est avec beaucoup de fierté que nous vous accueillons au pied de la Porte-Horloge, symbole très fort de la transmission aux valeurs de la République. Le corps des sapeurs pompiers en est l’incarnation » indique Marc Andreu Sabater.

Bruno Lemarchand et le lieutenant Pascal Venon, chef de centre de Vire. ont reçu une médiale de bronze

Bruno Lemarchand et le lieutenant Pascal Venon, chef de centre de Vire. ont reçu une médiale de bronze de l’union départementale. (©La Voix Le Bocage)

L’occasion également de remettre une médaille à Bruno Lemarchand, président de l’amicale, ainsi qu’au lieutenant Pascal Venon, chef de centre de Vire. « Un binôme complémentaire », souligne le président de l’union départemental qui leur a remis la médaille de bronze de l’union départementale.

 

Courts métrages : cinq films pour mettre l’Europe à l’honneur à Brest

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Skolstartssorg de Maria Eriksson fait partie de la sélection de courts métrages projetés à Brest mardi 28 mai 2019.

Skolstartssorg de Maria Eriksson fait partie de la sélection de courts métrages projetés à Brest mardi 28 mai 2019. (©Maria Eriksson)

Dans le cadre du printemps de l’Europe, l’association Côte Ouest, connue pour organiser le festival européen du film court de Brest, proposera mardi 28 mai 2019, à la Maison de l’international, une sélection parmi les meilleurs courts métrages de l’année, en s’appuyant sur le palmarès de la dernière édition. Et annonce :

Nous convions à un voyage cinématographique haut en couleurs à travers les langues, les histoires, les formes, pour dresser un portrait en mosaïque de L’Europe en Courts.

De la Hongrie à la Suède

Pendant 1h40, cinq films seront diffusés. La France sera représentée par Venerman de Swann Arlaud et Tatiana Vialle, l’histoire de Charles, qui vit dans une campagne tranquille mais qui rêve d’être noir et de vivre en ville, se créant un double fantasmé. Mais aussi par La Chanson de Tiphaine Raffier, trois amies qui rêvent de gagner un concours de sosies, avant que l’une d’entre elles ne décide d’écrire des chansons.

Le voyage passera également par la Hongrie avec A Legjobb Jatek, ou deux techniciens de vidéosurveillance qui se battent en apprenant que leurs postes sont menacés par une machine à intelligence artificielle. De son côté, Stretan Put mènera en Bosnie-Herzégovine, vingt ans après la guerre. Quant à l’œuvre suédoise Skolstartssorg, elle raconte l’enseignement des réalités du monde d’un grand frère à son cadet.

Infos pratiques : 
Mardi 28 mai à 19 h à la Maison de l’international, 245 cours Aimé-Césaire à Brest.
www.filmcourt.fr
C’est gratuit.

Essonne. Le « Rebirth Brass Band » fait son show à Ris-Orangis !

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Le Plan vous accueille pour un vrai show

Le Plan vous accueille pour un vrai show (©Le Plan)

Le Plan vous propose une création unique ce week-end. En effet, après la Colombie, c’est aux Etats-Unis, plus précisent en Louisiane, que la salle essonnienne et Thierry Micheaux, professeur au Conservatoire à Rayonnement Départemental (CRD) d’Evry, vous emmènent à la rencontre d’un orchestre « second line » : le « Rebirth Brass Band ».

Ainsi, le Plan réunit une nouvelle Fanfare Ephémère composée de musiciens amateurs et volontaires encadrés par des professeurs du CRD d’Evry. A l’origine, les « second line » sont assurées par des musiciens qui s’intègrent derrière une parade néo orléanaise qui peut célébrer toutes sortes d’événements importants (mariages, enterrements…) et animent la partie libre de ce cortège comprenant personnages déguisés ou danseurs.

Le Plan se concentre sur l’autre partie : la « second line ». Ainsi, depuis mi-mars, des répétitions régulières ont été organisées afin de maîtriser un répertoire de morceaux couramment interprétés par ces formations et adapté par Thierry de Micheaux.

« Rebirth Brass Band + La Fanfare Ephémère », samedi 1er juin à 20h au Plan. Comptez entre 5€ et 14€. Réservations sur le site du Plan.

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