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Près de Montpellier : ivre, une mamie emboutit volontairement une voiture des gendarmes

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ILLUSTRATION/ Voiture de gendarmerie endommagée.

ILLUSTRATION/ Voiture de gendarmerie endommagée.

Selon le groupement de gendarmerie de l’Hérault qui révèle l’information, on a frôlé le drame, mercredi, sur la route près de Gignac, où l’interpellation d’une septuagénaire en état d’ivresse au volant de sa voiture a été mouvementée.

La conductrice a d’abord été interceptée par des gendarmes de la compagnie de Lodève pour avoir « brûlé » un stop, avant de démarrer brusquement et de prendre la fuite à vive allure, sur la RD 32.

Elle manque de renverser un gendarme

Dans sa course, la mamie a manqué de renverser un gendarme, avant de se retrouver coincée dans le flot important de circulation. Alors qu’elle venait d’être de nouveau arrêtée, elle réussissait à s’échapper et n’a pas hésité à recule volontairement avec sa voiture, portière ouverte pour heurter et emboutir le véhicule d’intervention de la gendarmerie.

Elle a finalement été neutralisée et placée en garde à vue.

0.84 grammes d’alcool dans le sang

Originaire de Saint-Bauzille-de-la-Sylve, un village à l’Ouest de Gignac, la septuagénaire conduisait avec 0.84 grammes d’alcool par litre de sang. Son permis de conduire lui a été retiré immédiatement.

Pour les gendarmes du secteur, elle n’est pas une inconnue et pour cause : elle a déjà été condamnée pour conduite en état d’ivresse et son permis de conduire lui avait été restituée en mars dernier, après une suspension de plusieurs mois.

Elle a désormais interdiction de conduire tout véhicule motorisé, voiture sans permis comprise. Remise en liberté vendredi, elle comparaîtra devant le tribunal correctionnel de Montpellier le 3 juillet.


Plouézec : rendez-vous au jardin de Babou dimanche 26 mai

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Isabelle et Patrick Prêteur attendent le public dans le Jardin de Babou.

Isabelle et Patrick Prêteur attendent le public dans le Jardin de Babou à Plouézec dimanche 26 mai.

Dimanche 26 mai 2019, Isabelle et Patrick Prêcheur ouvriront les portes du Jardin de Babou, au Questel en Plouézec.

Les fonds récoltés iront soutenir  le jardin pour adultes autistes de Paimpol.

Un bel abri
Baptisé « Bel Abri – Joël Mordelet », ce jardin sensoriel est installé au sein de la Maison d’accueil spécialisé (MAS) l’Archipel à Paimpol.
Cet espace de vie et d’échanges a été créé pour permettre aux personnes autistes de s’épanouir, de s’ouvrir vers l’extérieur.
Il est actuellement en phase de d’achèvement et est financé en grande partie par des dons.

Extraordinaire

Ce sera l’occasion pour le nombreux public (près de 600 personnes chaque année) de faire une bonne action en s’acquittant d’un droit d’entrée de 3 € mais aussi de visiter un jardin extraordinaire et varié, fruit du travail de Patrick Prêcheur, jardinier passionné.

Infos pratiques : Portes ouvertes au Jardin de Babou, 1, Hent Goalève, Le Questel, Plouézec. Dimanche 26 mai toute la journée.

Ploubazlanec : se remettre en selle avec l'Entente Cyclo

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L’Entente Cyclotourisme de Ploubazlanec propose chaque vendredi, au départ de Paimpol, des sorties à vélo, à allure modérée, pour se remettre en selle. (©La Presse d’Armor).

 

Chaque vendredi après-midi, l’Entente Cyclotourisme de Ploubazlanec donne rendez-vous devant la gare de Paimpol pour des sorties vélo

Elles sont destinées aux personnes souhaitant faire une balade et se remettre 

les fesses sur une selle de vélo.

Allure modérée

La sortie s’effectue à allure modérée (environ 18 km/h) pour une distance de 30 à 40 km.

Le départ a lieu à 14 h le vendredi.

Les vélos à assistance sont tout à fait accueillis.

Les participants sont couverts par l’assurance du club pour les premières sorties.

Les organisateurs conseillent le port du casque. Ces sorties sont encadrées par une ou deux personnes expérimentées.

Infos pratiques : Contact : Patrice Ferré au 06 15 80 35 43

Football : c'est de l'heure de vérité pour Noyal-Pontivy et son maintien en R2 ce dimanche 26 mai

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Alexandre Maurice (le buteur casqué), Ludovic Morvant et les Noyalais fêteront-ils le maintien dimanche soir 26 mai 2019 ?

Alexandre Maurice (le buteur casqué), Ludovic Morvant et les Noyalais fêteront-ils le maintien dimanche soir 26 mai 2019 ? (©Pontivy Journal )

Depuis plusieurs semaines, les Moutons blancs de Noyal-Pontivy (Morbihan) jouent chaque dimanche pour leur maintien en championnat de Régional 2. Cette fois, ce dimanche 26 mai 2019, c’est leur dernière occasion de l’assurer, c’est la dernière journée de championnat…

Lire aussi : Football : Noyal-Pontivy joue son maintien en R2

L’heure de vérité

« Les joueurs ont les cartes en main. À eux de montrer ce qu’ils ont dans le ventre, de savoir ce qu’ils veulent ! C’est l’heure de vérité. C’est une question de volonté. » Passablement agacé après la défaite à Languidic le 19 mai dernier, Philippe Herpe, l’entraîneur de Noyal-Pontivy plante le décor de ce dernier match face à Bains-sur-Oust, ce dimanche 26 mai 2019.

En ballottage favorable par rapport à Baud – le premier relégable – les Moutons blancs ne doivent pas jouer à se faire peur.

On a notre destin entre les mains, c’était hyper important, constate Philippe Herpe. Il faut se coller à Baud (Ndlr : qui se déplace à Pluvigner), en faisant au minimum le même résultat qu’eux. Tout peut arriver !

Le chaud et le froid

Lire aussi : Foot : en R2, Noyal-Pontivy doit « se préparer à une opération commando contre Baud » ce dimanche 5 mai

Philippe Herpe insiste : « Il faut jouer ce match pour le gagner. Notre adversaire possède une belle armada offensive. En mettant les ingrédients d’intensité, de volonté et d’agressivité, mes joueurs sont capables de les renverser ».

L’équipe est bonne quand les 14 joueurs sont prêts à aller au combat. J’attends de certains joueurs qu’ils soient plus leaders sur le terrain. Il faut tout donner !

L’entraîneur noyalais le dit lui-même : son équipe souffle régulièrement « le chaud et le froid ». Ce sera donc « le chaud » sur ce dernier match de la saison. Sera-t-il suffisant pour décrocher le maintien en R2 ? Par rapport à Baud, Noyal-Pontivy tient la corde…

Infos pratiques
Dimanche 26 mai 2019, au stade Yves-Le-Moullac à Noyal-Pontivy (Morbihan) à 15 h 30, match MB Noyal-Pontivy – Bains-sur-Oust. Payant.

Vimoutiers. Une centaine de participants au premier Vim'Trail

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Les coureurs présents sur la ligne de départ ont été enthousiasmés

Les coureurs présents sur la ligne de départ ont été enthousiasmés

Il est 18 h, samedi 18 mai, place du XIIIe Arrondissement de Vimoutiers (Orne). Cécile Catherine, présidente du Vimoutiers Jogging-club, commence à relâcher la pression. Si en début de semaine, le nombre des inscrits n’atteignait pas les espérances pour ce premier Vim’trail, avec une petite quarantaine d’inscrits, finalement ils seront cent huit à prendre le départ, au grand soulagement des organisateurs qui misaient sur un seuil minimal de cent participants.

Un parcours unanimement apprécié

Ils ont été 71 au trail et 37 à la marche nordique. Ces derniers sont partis en premier pour un circuit de 14 km suivis, une demi-heure plus tard, par les coureurs, pour un circuit de 18 km. Une soixantaine de bénévoles sont sur la brèche pour veiller au bon déroulement du rendez-vous. Une heure treize minutes et six secondes plus tard, le premier coureur arrive. Il s’agit de Bertrand Cagneaux, de Grainville-sur-Odon (Calvados).

Lire aussi : 1er Vim’trail : l’organisation est prête, reste aux coureurs et marcheurs de s’inscrire

Ce sont aussi les premières louanges effectuées sur le parcours et l’accueil qui est réservé. La première féminine sera Laëtitia Sanders, de Livarot (1h30’25″).

Véronique Vénard parmi les participants

Parmi les compétiteurs, on retrouve la Vimonastérienne Véronique Vénard. Éloignée des circuits depuis août 2016, suite à un accident du travail et une jambe en bien mauvais état, son mental et sa volonté de fer ont défié tous les pronostics. Elle a rechaussé les baskets et fait son retour dans la course avec l’objectif de participer au championnat de France FSGT de trail (14 km) à Gouaix (Seine-et-Marne), le dimanche 9 juin, sous les couleurs de son nouveau club, l’ASL Condé-sur-Sarthe. Elle bouclera le circuit en 1 h 34 min.

J’ai bien encore de petites failles, mais je ne me mets plus la pression comme avant. J’ai adoré le parcours ! C’est super car on a de tout : du plat, des côtes. Je n’ai pas vu le temps passer !

Lire aussi : MJC Vimoutiers. Une section aïkido en projet en septembre

Guillaume et Virginie Samin (Sainte-Foy-de Montgommery, Calvados) ont participé en tant que marcheurs.

C’est la première fois que nous marchons ensemble. Le circuit est super-agréable avec très peu de bitume et des vues à couper le souffle. L’an prochain, on ramènera du monde !

Cécile Catherine était à l’écoute de toutes les remarques à l’arrivée. Des échos recueillis il ressort qu’ils n’auront pas grand-chose à modifier. Si ce n’est peut-être se positionner sur une autre date.

Reconduction en 2020

L’organisatrice ne cachait pas sa satisfaction face aux commentaires élogieux des participants.

C’est un soulagement car c’est beaucoup de travail et je tiens à remercier mon équipe, les bénévoles ainsi que tous les commerçants qui ont bien joué le jeu.

Lire aussi : Course à pied : Valentin Chéruel, de Guerquesalles, sacré champion de Normandie junior ira au France

Quant à la marche nordique, elle sera troquée contre une randonnée pédestre. Une seconde édition aura lieu en 2020. Restera à en fixer la date.

Bernard Cagneux premier vainqueur
Quatre coureurs ont vite distancé leurs poursuivants. L’ordre d’arrivée était déjà constitué à 2 km de la ligne. Bertrand Cagneaux (1h13’06″) devance sur la ligne Sébastien Joannet et Aurélien Bonhomme.

Aviron de mer : les finales des championnats de France à Dieppe ce samedi

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Le club dieppois est aussi présent dans les épreuves des championnats de France d'aviron de mer avec une trentaine de licenciés.

Le club dieppois est aussi présent dans les épreuves des championnats de France d’aviron de mer avec une trentaine de licenciés. (©le studio de com)

Depuis mercredi, la plage de Dieppe vit au rythme de l’aviron de mer.

L’organisation des championnats de France a été confiée au Club Nautique Dieppois qui en plus des courses, propose un village sur les pelouses avec de nombreuses animations sportives et ludiques.

De plus, grâce au Comité régional olympique et sportif de Normandie, un terrain multisports jouxte le village et propose des activités sportives variées, essentiellement à destination des enfants.

Lire aussi : Basket : Dieppe en finale après le forfait de La Hague

Après avoir accueilli les jeunes des centres de loisirs, des scolaires et des familles, le CN Dieppe, présidé par Bénédicte Ouvry, se consacre depuis vendredi à la compétition nationale.

On peut rappeler que cette année, les championnats de France d’aviron de mer battent leur record de participation avec plus de 700 compétiteurs et 250 bateaux.

Les catégories concernées vont des J16 (moins de 16 ans) aux vétérans, avec également pour la première fois des épreuves pour des personnes en situation de handicap.

Les embarcations sont des solos, duos et quatres barrés.

Ce samedi, place aux finales avec encore un programme chargé.

Beach rowing dimanche

Une première série d’épreuves est prévue entre 8 h et 11 h 40 avec remise des pris à 12 h.

Après la pause déjeuner, retour des courses de 14 h à 16 h 40 environ avec remise des récompenses à 17 h ; on peut d’ailleurs rappeler que pas moins de 26 titres sont décernés durant ces championnats de France d’aviron de mer.

Enfin, dimanche, la fête se poursuit avec des épreuves de beach-rowing entre 9 h 30 et 14 h ; le beach rowing correspond à une course à pied d’un des membres du bateau sur la plage pour rejoindre l’embarcation, puis un parcours en mer et un retour avec à nouveau de la course à pied jusqu’à la ligne d’arrivée. 

L’enjeu sera important car cette compétition servira à sélectionner les futurs membres de l’équipe de France en vue des Jeux méditerranéens.

Salades en sachet : elles séduisent de plus en plus les Français

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Whiteaster - stock.adobe.com

74 % des acheteurs déclarent avoir confiance dans les salades prêtes à l’emploi. (©Whiteaster – stock.adobe.com)

Les salades prêtes à l’emploi ont le vent en poupe et le Syndicat des fabricants de produits végétaux frais prêts à l’emploi (SVFPE) entend le faire savoir !

Lors d’une conférence de presse organisée à Paris le 22 mai dernier, il a effectivement annoncé des chiffres 2018 en augmentation par rapport en 2017.

Ainsi, l’an passé, 74 % des ménages ont acheté de la salade en sachet, soit une augmentation globale de 1 %.

Si ces ventes ont progressé dans tous les circuits de distribution, l’avancée la plus spectaculaire est à mettre à l’actif des drives avec une hausse de 12,7 % par rapport à 2017.

SVFPE

Les salades prêtes à l’emploi séduisent de plus en plus. (©SVFPE)

Pratique et rapide

Une augmentation logique lorsque l’on sait que les Français, dans le cadre d’un sondage CSA/SVFPE, ont indiqué privilégier les salades prêtes à l’emploi à 68 % pour leur praticité et à 64 % pour le gain de temps.

Ils estiment en effet qu’un sachet de salade, en moyenne, fait gagner 10 minutes, comparativement à une salade en vrac à préparer soi-même. Ici, aussitôt le paquet ouvert, aussitôt la salade dans le plat ou dans l’assiette !

La laitue, variété préférée des Français

Autre intérêt : la diversité. Une vingtaine de variétés est présentée toute l’année sur les étals des magasins. Avec, la plupart du temps, des salades made in France.

Seulement lorsque les températures sont trop froides, les salades sont alors cultivées en Espagne et en Italie avec, toutefois, une exception pour la mâche qui pousse toute l’année dans le bassin nantais. La mâche arrive d’ailleurs en 2e position sur le podium des variétés les plus consommées derrière l’indétrônable laitue et devant l’iceberg et les jeunes pousses.

5 fruits et légumes par jour

Désormais vendues dans des sachets de tailles différentes pour s’adapter aux besoins de chacun, les salades prêtes à l’emploi séduisent 35,7 % des foyers composés de trois personnes minimum, 33,8 % des couples et 30,3 % des célibataires.

Les consommateurs y voient ainsi l’avantage de pouvoir facilement répondre, si non totalement du moins en partie, à la fameuse recommandation des 5 fruits et légumes par jour. D’autant que les qualités nutritionnelles de la salade ne sont plus à démontrer.

La salade en sachet… en six étapes !

Du côté du SVFPE, on insiste aussi sur la traçabilité du produit et des contrôles réguliers.

Toutes les salades en sachet sont préparées dans l’un des dix sites implantés sur tout le territoire, selon 6 étapes précises : la récolte, la réception, le tri, le lavage-rinçage, l’essorage et la mise en sachet.

Et avec une nécessité : compter moins de 48 heures entre l’ensachage et la commercialisation en magasin.

Notre idée recette : salade de roquette au quinoa, lentilles et dés de saumon

Adocom-RP

Salade de roquette au quinoa, lentilles et dés de saumon (©Adocom-RP)

Ingrédients : 1 sachet de roquette, 150 g de lentilles vertes, 100 g de quinoa, 2 pavés de saumon, 1 oignon rouge, 1 c. à soupe de persil haché, 1 petit bouquet garni (thym et laurier), 8 c. à soupe d’huile d’olive, 3 c. à soupe de vinaigre de cidre, 1 c. à soupe de miel liquide, sel, poivre du moulin.

Verser les lentilles dans une casserole et couvrir de 2 verres d’eau. Ajouter le bouquet garni, saler et porter à ébullition. Faire cuire le quinoa selon le mode d’emploi. Égoutter et laisser refroidir, puis mélanger avec une fourchette pour séparer les grains. Peler et émincer l’oignon. Couper en dés les pavés de saumon sans peau. Dorer les dés de saumon dans une poêle avec 2 cuillères à soupe d’huile d’olive.

Vinaigrette : mélanger l’huile, le vinaigre, le miel, 1 pincée de sel et du poivre.
Lorsque les lentilles sont cuites, mais encore un peu fermes, mélanger avec le quinoa et l’oignon dans un saladier. Arroser de vinaigrette et laisser macérer 30 minutes à température ambiante. C’est le moment d’ouvrir le sachet de roquette et d’ajouter le persil haché, l’oignon et les dés de saumon. Mélanger et déguster !

APEI-Actualités. C.B.

Le projet éolien de Thierville et Malleville-sur-le-Bec n'est pas mort

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Bertrand Simon, le maire de Thierville, et son conseil, se gardent le droit de refuser ce nouveau projet s'il n'est pas financièrement avantageux pour la commune.

Bertrand Simon, le maire de Thierville, et son conseil, se gardent le droit de refuser ce nouveau projet s’il n’est pas financièrement avantageux pour la commune.

Une éolienne à Thierville ? On pensait le projet mort, enterré avec la décision, en mai 2018, du préfet de l’Eure qui avait jugé le projet d’implantation d’éoliennes sur Thierville et Malleville-sur-le-Bec (Eure) incomplet et impactant les monuments historiques, notamment au Bec-Hellouin.

Mais, en fait, il n’a jamais été abandonné. Dès qu’on a appris pour le refus, la société Nordex [le porteur de projet, ndlr] nous a dit qu’elle allait réfléchir à une suite, mais qu’on ne l’enterrait surtout pas, confie le maire de Thierville, Bertrand Simon.

Lire aussi : Flocques. Visite au cœur du parc éolien des Longs Champs

40 000 € par an sur 40 ans

Pour bien comprendre ce dont on parle, petit retour en arrière. En 2015, un projet d’implantation d’éoliennes voit le jour sur la commune de Malleville-sur-le-Bec. A Thierville, commune jouxtant Malleville-sur-le-Bec, on s’interroge alors des nuisances potentielles. « Je me suis dit : s’il doit y avoir des nuisances, autant qu’on en tire, nous aussi, des bénéfices. » Finalement rangé du côté de ses habitants, majoritairement pro-éoliennes, Bertrand Simon se lance, avec son conseil, dans ce projet. Une éolienne est retenue sur le site de la Couture du Maurepas. Principal avantage d’une telle installation ? Les retombées financières pour la commune.

Dans le projet initial, on devait toucher 40 000 € par an pendant 40 ans de Nordex pour l’utilisation de nos chemins ruraux (tant dans l’installation que dans l’entretien de l’éolienne), ainsi qu’une partie de l’Imposition forfaitaire sur les entreprises de réseau (Ifer). Et en plus, Nordex était prêt à nous donner 100 000 € pour réaliser l’enfouissement de nos lignes ou pour planter des haies chez les riverains des éoliennes, ajoute Bertrand Simon.

Mais finalement, le 11 mai 2018, le projet est stoppé net. Le préfet de l’Eure, Thierry Coudert, refuse de valider le dossier en l’état. Hauteur des pâles en inadéquation avec les règles du trafic aérien, impact sur le paysage et/ou les monuments historiques ou encore absence d’étude sur l’économie agricole… les raisons du refus étaient nombreuses. Mais pour Bertrand Simon, elles sont à « la limite du ridicule » :

On nous bassine que la planète est en danger. Alors, nous, on monte des projets qu’on nous refuse pour des raisons risibles. Le projet a-t-il été arrêté à cause des 10/12 personnes qui s’y opposaient, sur les deux communes ? Ce serait également ridicule.

Bertrand Simon, maire de Thierville, désignait, en 2017, la zone où pourraient être implantées quatre à cinq éoliennes réparties sur sa commune, mais également sur celle de Malleville-sur-le-Bec.

Bertrand Simon, maire de Thierville, désignait, en 2017, la zone où pourraient être implantées quatre à cinq éoliennes réparties sur sa commune, mais également sur celle de Malleville-sur-le-Bec. (©Photo d’archives publihebdos l’Eveil de Pont-Audemer)

Le projet révisé présenté en juin

En juin prochain, la société Nordex doit donc présenter un projet remanié aux habitants et élus du secteur.

En étant l’un des sites les plus propices en termes de potentiel éolien dans l’Eure, le site de La Couture du Maurepas entre Malleville et Thierville répond aux défis majeurs en faveur de l’environnement […]. Le projet sera donc mis en conformité [avec les recommandations de la préfecture], écrit Adrien Loiselet, chef de projet pour Nordex.

Ainsi, la taille des éoliennes devrait être revue à la baisse (« sans baisse de la production d’énergie ») pour les rendre compatibles avec les règles aéronautiques en vigueur, et l’impact des éoliennes sur le paysage (et l’abbaye du Bec-Hellouin) approfondi. Les élus de Thierville, eux, se gardent le droit de refuser ce nouveau projet.

Si les retombées financières pour nous sont les mêmes, nous validerons le projet. Sinon, on le refusera, promet Bertrand Simon.


Football. Le grand remue-ménage a débuté au SM Caen

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Brice Samba va très probablement quitter le Stade Malherbe. Rennes tient la corde pour l'accueillir.

Brice Samba va très probablement quitter le Stade Malherbe. Rennes tient la corde pour l’accueillir. (©Aline Chatel / Sport à Caen)

Le grand remue-ménage attendu au Stade Malherbe Caen après la relégation en Ligue 2 a donc commencé par le départ de Fabien Mercadal. Au lendemain de l’échec constitué par cette descente, l’entraîneur caennais a quitté son poste avec une partie des deux années de contrat qui lui restaient. Qu’en sera-t-il de ses deux adjoints (Fabrice Vandeputte et Michel Audrain), de ses deux préparateurs physiques (Christophe Manouvrier et Jean-Marc Branger), de l’entraîneur des gardiens (Hervé Sekli) et des hommes de l’ombre ? Caen disposait d’un staff étoffé en Ligue 1 qui ne devra probablement être réduit à l’étage inférieur, ce qui aura aussi un coût puisque ces hommes sont sous contrat.

Lire aussi : Football. Après une saison cauchemardesque, Caen ne méritait pas mieux

Rolland Courbis aimerait rester

Fabien Mercadal parti, son successeur est espéré très rapidement. A priori, il ne s’agira pas de Rolland Courbis. Celui qui avait pris les rênes en cours de saison, pour compenser les difficultés de management rencontrées par son cadet, a fait passer quelques messages chez son employeur RMC Sport. Entre deux complaintes sur l’attitude des Bordelais après leur victoire ou le calendrier dont a bénéficié Dijon.

Je ne voulais pas remplacer Fabien, je reste sur cette position. Je dois voir avec le président ce qu’on peut faire pour qu’on soit tous contents, pour que je puisse filer un coup de main. Si je peux les aider à remonter rapidement, et pourquoi pas dès la saison prochaine, ça me ferait énormément plaisir.

Rolland Courbis s'est pris d'affection avec le Stade Malherbe et aimerait rester dans un rôle de conseiller.

Rolland Courbis s’est pris d’affection avec le Stade Malherbe et aimerait rester dans un rôle de conseiller. (©Aline Chatel / Sport à Caen)

Le grand animateur de la deuxième partie de saison, notamment par ses shows répétés en conférence de presse, se verrait bien en conseiller ou coordinateur. Le départ non-remplacé d’Alain Cavéglia comme directeur sportif (Yohan Eudeline occupe des fonctions moins étendues en qualité de responsable du recrutement) pourrait laisser une ouverture. Et tant pis si Rolland Courbis n’a pas atteint la mission pour laquelle il avait signé : sauver le club de la relégation en Ligue 2. Apprécié et respecté des joueurs, il a des arguments en sa faveur.

Départs actés et fins de contrat

Le futur entraîneur du Stade Malherbe n’arrivera pas dans un contexte plus favorable que son prédécesseur un an plus tôt. Certes, il n’aura pas à subir les effets de la crise de gouvernance ayant provoqué le remplacement de Jean-François Fortin par Gilles Sergent, mais la direction actuelle du club ne respire pas la sérénité. Des changements sont envisagés et l’avenir du président, pas seulement contesté par les supporters, n’est pas clair. Il va pourtant falloir œuvrer très vite parce que l’effectif caennais promet d’être chamboulé et que la Ligue 2 reprend dès le 26 juillet.

Lire aussi : Football. Gilles Sergent après la descente de Caen : « De la honte et de la colère »

Claudio Beauvue, l'un des gros échecs de la saison à Caen

Claudio Beauvue, l’un des gros échecs de la saison à Caen (©Aline Chatel / Sport à Caen)

Certains cas sont déjà entérinés. Claudio Beauvue (Celta Vigo), Paul Baysse (Bordeaux) et Saïf Khaoui (Marseille) étaient prêtés à Caen et repartent donc dans leur club respectif. Les trois prêts ont constitué autant d’échecs. On avait pourtant cru, un instant, que les arrivées tardives de Beauvue et Baysse avaient sauvé le recrutement caennais en août 2018. Aly Ndom (Reims) était également arrivé en prêt l’hiver dernier. Reste à savoir si l’option d’achat du milieu défensif était obligatoire ou non. Peu probable avec la descente. Lui aussi prêté, Frédéric Guilbert évoluera à Aston Villa la saison prochaine. Il y a signé l’hiver dernier, pressé de saisir l’opportunité représentée par le club anglais. Enfin, Emmanuel Imorou, Romain Genevois et Ismaël Diomandé sont en fin de contrat, comme le mystère Mouhamadou Dabo et le quatrième gardien Paul Reulet.

Lire aussi : Football. Avant de partir de Caen, Frédéric Guilbert a une mission à accomplir

Hormis les jeunes, qui restera ?

Hormis Baisama Sankoh (2020), tous les autres joueurs sont liés à Caen jusqu’en 2021, 2022 et même 2023 pour Yoël Armougom. Certains départs ne font pas l’ombre d’un doute. C’est le cas pour Brice Samba, qui tient la corde à Rennes, et Alexander Djiku. Fayçal Fajr assurait à des spectateurs après Bordeaux qu’il pouvait rester si le projet était ambitieux, mais on imagine mal ce scénario. Jessy Deminguet ne devrait pas manquer de sollicitations et Casimir Ninga peut espérer retrouver un point de chute en Ligue 1. La question se pose aussi pour Enzo Crivelli, même si sa saison a été décevante. Yacine Bammou, dont le recrutement à prix d’or l’été dernier restera comme l’une des grandes incompréhensions du marché 2018, veut partir.

Jonathan Gradit s'est révélé cette saison aux yeux de la Ligue 1. Caen arrivera-t-il à le conserver ?

Jonathan Gradit s’est révélé cette saison aux yeux de la Ligue 1. Caen arrivera-t-il à le conserver ? (©Aline Chatel / Sport à Caen)

Le cas Jonathan Gradit, révélation du Stade Malherbe cette saison, constitue un grand point d’interrogation. Caen aura forcément envie de reconstruire autour de lui dans un effectif renouvelé en très grande partie. Les dix premiers contrats professionnels délivrés depuis mai 2018 prennent tout leur sens aujourd’hui. On s’étonne presque de ne pas en voir plus, ou plutôt d’autres, au regard du potentiel qu’affichent les Jad Mouaddib (milieu axial), Hugo Vandermersch (arrière droit) et Thomas Chesnel (défenseur central), tous en fin de contrat et présentés sur le départ. 

Exposition. Une autre vision du vide selon Ashley Ashford-Brown

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Ashley Ashford-Brown, peintre anglais, est installé depuis quatre ans dans le Perche.

Ashley Ashford-Brown, peintre anglais, est installé depuis quatre ans dans le Perche. (©Le Perche.)

Perche-en-Nocé (Orne). Épisode 3. Des peintures de pièces vides composées de ciment et de poussière, teintées de thé.

Telle est la marque de fabrique des peintures d’Ashley Ashford-Brown.

L’artiste avait pour habitude de peindre des arbres quand il était sur Paris.

À son arrivée dans le Perche, il y a quatre ans, le peintre anglais change de sujets.

« La nature était meilleure que moi, du coup j’ai eu envie de changer », se souvient Ashley.

C’est un souvenir qui va déclencher sa passion pour les pièces vides.

« Il y a sept ou huit ans, j’ai vidé la maison familiale où avaient vécu trois générations de ma famille. C’était un ancien presbytère. Le bâtiment avait été vendu et il fallait le vider au plus vite », se rappelle le peintre britannique.

Une présence malgré l’absence

Exemple de la série Rooms.

Exemple de la série Rooms. (©Le Perche.)

En vidant les pièces les unes après les autres, Ashley Ashford-Brown s’aperçoit d’une chose étrange :

« Je me suis rendu compte que ma mère repeignait une pièce différente de la maison tous les quinze ans mais en ne bougeant jamais les meubles. C’est là que je me suis aperçu que malgré le vide fait dans les pièces, il demeurait une présence, une trace. L’esprit des différentes générations était là, visible sur les murs ! »

De retour en France, le peintre va entamer sa série Rooms.

« Ces pièces vides m’ont également rappelé mes voyages en Syrie et au Moyen-Orient. Je me suis rappelé l’attachement qu’avait les Palestiniens avaient envers leurs maisons de familles dont aujourd’hui, ils ne possèdent plus qu’une clé comme souvenirs qu’ils se transmettent de génération en génération. Le maintien d’une présence malgré l’absence » , souligne Ashley.

 

Pratique

Jusqu’au 2 juin, a lieu une série d’expositions dans le cadre du champ des Impossibles. Les lieux sont ouverts les week-ends et les jours fériés de 14 h 30 à 19 h.

Près de Montpellier : le client d'un tabac-presse désarme deux jeunes braqueurs

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Tabac-presse.

ILLUSTRATION. Tabac-presse. (©D.R.)

Le tabac-presse de Saint-Bauzille-de-Putois, au sud de Ganges, à une trentaine de kilomètres au Nord de Montpellier, a été la cible d’un hold up, vendredi vers 18h. Deux jeunes individus agissant à visage découvert et pointant une arme de pong ont fait irruption dans le commerce.

Maîtrisé par un client

Ils ont braqué le buraliste et exigé le contenu de la caisse. Un client qui était présent a fait preuve d’un exemplaire courage, en désarmant le braqueur, puis en le maîtrisant au sol, aidé par le commerçant, puis par des témoins, jusqu’à l’arrivée d’une patrouille de gendarmes.

Deux mineurs gardois

Le complice n’a pas demandé son reste, il s’est enfui à pied dans les rues du village. Les gendarmes ont perdu sa trace, jusqu’à ce qu’il soit localisé et interpellé samedi matin.

Les deux braqueurs présumés ont été placés en garde à vue dans une brigade du ressort de la compagnie de Lodève. Il s’agit de deux mineurs domiciliés dans le Gard et qui se sont déplacés à Saint-Bauzille-de-Putois pour commettre ce hold up, avec un moyen de locomotion ignoré au stade actuel de l’enquête.

Foire de Pâques à Vimoutiers : la cave d'Hugues Desfrièches remporte le trophée Eugène Lecoeur

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L'ensemble des producteurs, lauréats de l'édition 2019 du concours des produits cidricoles de la foire de Pâques de Vimoutiers, avec au premier plan, à gauche (2), Hugues Desfrièches

L’ensemble des producteurs, lauréats de l’édition 2019 du concours des produits cidricoles de la foire de Pâques de Vimoutiers, avec au premier plan, à gauche (2), Hugues Desfrièches

Les lauréats du concours des produits cidricoles de la foire de Pâques de Vimoutiers (Orne) ont été reçus en mairie lundi 13 mai 2019, pour se voir décerner leurs prix, dont des primes pour un budget global de 860 €.

Cette nouvelle édition a vu la participation de 90 jurés qui ont eu à noter 202 échantillons. « Une fréquentation stable » a indiqué Michel Bigot, président de Vimoutiers animation.

La cérémonie s’est déroulée en présence d’une trentaine de producteurs et de représentants de la confrérie des Fins Goustiers du Haut-Maine et Pail. Soixante-six prix ont été décernés dans les catégories calvados AOC Pays d’Auge, calvados AOC Calvados, cidres, poirés, jus de pommes et pommeau de Normandie.

Depuis trois générations

Le trophée Eugène Lecoeur, récompensant la cave la plus primée de l’édition, a été remporté par Hugues Desfrièches, de Sainte-Marguerite-de-Carrouges. L’an dernier le producteur était passé à côté « à un point près » souligne Michel Thouin, responsable du concours. Il avait été devancé par la cave des Vergers du Chouquet, à Camembert, de Christophe Aguinet.

« À plusieurs reprises, je suis arrivé en 2e position pour prétendre à remporter ce trophée » indique Hugues Desfrièches.

2019 était donc son année. Sa famille est fidèle au concours de Vimoutiers depuis des années.

J’ai participé avec mon père pendant trente ans avant de m’installer, il y a huit ans. Avant nous, c’était mon grand-père et d’ailleurs ce matin, en me rendant à la cave, je voyais encore le prix qu’il avait remporté datant de 1947 ! »

Pour conserver le trophée définitivement, il lui faudra le remporter deux autres années consécutivement.

Reconnaissance de savoir-faire

Maire de Vimoutiers, Guy Romain a souligné combien ce type de concours valorisait tant « les producteurs que les produits ». Agnès Laigre, conseillère départementale, ajoute « qu’il s’agit là de la reconnaissance de savoir-faire ».

Michel Bigot a conclu en rappelant que ce concours est le seul en France, à réunir l’ensemble des produits cidricoles. Il n’a pas manqué de saluer le travail des bénévoles qui œuvrent avec lui à l’organisation des foires de Vimoutiers et des concours notamment.

Rendez-vous a été donné pour le concours des produits cidricoles de la 99e foire de Pâques qui aura lieu du 11 au 13 avril 2020.

L’ensemble du palmarès est consultable sur le site internet de la mairie : www.vimoutiers.fr rubrique actualités

À cheval sur la Seine-Maritime et la Somme, une association d'insertion organise des sessions de recrutement tous les mois

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Pauline Leuillier, conseillère socio-professionnelle, et Romane Cottin, chargée du suivi social, travaillent en étroite collaboration auprès des salariés en réinsertion à l'association des Jardins de la Bresle, à Bouttencourt (Somme).

Pauline Leuillier, conseillère socio-professionnelle, et Romane Cottin, chargée du suivi social, travaillent en étroite collaboration auprès des salariés en réinsertion à l’association des Jardins de la Bresle, à Bouttencourt (Somme) (©L’Éclaireur du Vimeu).

Samedi dernier à Bouttencourt, comme chaque année à la même époque, l’association d’insertion des Jardins de la Bresle a ouvert ses portes au public.

Lire aussi : Bouttencourt : déjà 20 ans pour l’association Les Jardins de la Bresle

Une opération 2019, comme les précédentes, destinée à faire découvrir les produits et leur mode de culture. Ainsi, les serres et les jardins ont été ouverts à la visite. Des fruits et légumes de saison ont également été proposés à la vente par les salariés, ainsi que la fabrication et la dégustation de mets à partir des produits des jardins.

Un premier job dating

Mais la grande nouveauté de cette année a été l’organisation d’un job dating. En effet, l’association des Jardins de la Bresle emploie des salariés en réinsertion professionnelle. Le job dating est donc un moyen de recruter, d’une part, tout en informant l’accompagnement qui entoure une personne en besoin de réinsertion.

Lire aussi : Avec Les Jardins de la Bresle. Aider à la réinsertion sociale et professionnelle

Romane Cottin, chargée du suivi social, et Pauline Leuillier, conseillère socio-professionnelle, travaillent toutes les deux en étroite collaboration. Si le job dating n’a pas rencontré le succès escompté, chaque mois, des sessions de recrutements sont organisées, en collaboration avec Pôle Emploi, où de nombreux candidats déposent leur dossier.

Les profils recherchés

Actuellement l’association des Jardins de la Bresle est à la recherche de salariés bénéficiant du Revenu de Solidarité Active (RSA), pour le maraîchage ou les espaces verts. Aucune compétence dans le domaine n’est demandée, puisque le but du recrutement est justement un accompagnement dans l’insertion professionnelle.

Infos pratiques : renseignements au 02 35 93 97 00.

Souvenirs. Il y a 30 ans naissaient les Mille-Pattes de Romilly-sur-Andelle, dans l'Eure

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Patrick (à droite) et son frère Pierre Lefèvre, les fondateurs du club Les Mille-Pattes de Romilly-sur-Andelle, dans l'Eure, accompagnés de Marianne Linant, bénévole dévouée.

Le président Patrick Lefèvre (à droite) et son frère Pierre Lefèvre, les fondateurs du club Les Mille-Pattes de Romilly-sur-Andelle, dans l’Eure, autour de Marianne Linant, bénévole dévouée. (©L’Impartial)

Le club d’athlétisme des Mille-Pattes de Romilly-sur-Andelle, dans l’Eure, vient de fêter ses 30 ans d’existence.

30 ans de présence dans la paysage associatif romillois et plus largement encore de la vallée de l’Andelle

A l’origine de la création du club, Patrick et Pierre Lefèvre se souviennent…

Le hasard 

« La passion pour l’athlétisme est venue complètement par hasard, assez tardivement pour moi, puisque j’avais entre 35 et 36 ans et Pierre avait entre 28 et 29 ans, puisqu’on a sept ans d’écart », détaillent Patrick et Pierre Lefèvre, deux frères que rien ne prédestinait à la création d’un club d’athlétisme aujourd’hui connu et reconnu.

Et Pierre de préciser

Je travaillais chez Matra, à Val-de-Reuil et on avait une course du Muguet organisée chaque année où on pouvait convier des personnes de l’extérieur. J’ai demandé à mon frère si cela lui disait et c’est comme ça qu’on a fait notre première course.

Les deux frères se souviennent du plaisir de participer à ces courses, réalisées avec « humour », sourient les deux hommes.

On était invité chez notre soeur et elle nous a indiqué qu’une course avait lieu le matin avant le déjeuner, le Challenge de l’Andelle à Rosay-sur-Lieure et on y est allé. On a rencontré des gens sympathiques et notamment les organisateurs de cette course. Et c’est comme ça qu’on a pris goût à la course. On est devenu des compétiteurs, on s’est lancé des défis.

C’est à partir de cette première rencontre que l’association Les Mille-Pattes de Romilly va naître, suite à la remarque des organisateurs pour inciter les deux frères à créer une association dans la vallée de l’Andelle, à Romilly.

Mille-pattes pour se démarquer

« On s’est lancé dans l’aventure de l’associatif sans vraiment avoir d’informations ou autres compétences. Notre père était très investi dans le bénévolat donc cela a dû nous influencer quelque part », se souvient Patrick.

Pour le nom, il voulait quelque chose que les gens puissent retenir sans que cela soit un amalgame de lettres comme il y en avait tant déjà à l’époque, en 1989. 

On a pensé à Mille-Pattes pour que cela soit emblématique et qu’on puisse se démarquer.

L’aventure commence enfin mais six mois plus tard, Pierre obtient un poste à l’étranger et laisse Patrick chapeauter l’association seul. « Je lui en voulais un peu au début parce que c’était lui qui m’avait convaincu de l’idée. Et puis, avec le recul, je me dis que j’aurais eu une vie triste et morne sans cette association. »

Une succession de rencontres fortuites

Les débuts de l’association sont simples : « on se change dans les voitures et on se rejoint dans la rue pour courir. »

En septembre 1989, Jacqueline Maille, « qu’on considère comme la première marraine de l’association, nous a demandé si on pouvait organiser une course à pied à Romilly-sur-Andelle, pour la fête de la Septembre. On a dit oui. »

Bonne humeur et plaisirs sur les courses 

D’autres facteurs chance sont également évoqués par les deux frères, notamment Jean-Paul Gosselin, alors journaliste sur le secteur, qui a été le premier a parlé des Mille-Pattes dans L’Impartial.

La suite de l’histoire, comme l’indique Patrick Lefèvre, ce sont des rencontres faites d’heureux hasards.

Nous avons toujours eu de bons conseils de la part des organisateurs d’autres courses, de coureurs, croisés sur d’autres événements et cela nous a permis de grandir.

Entre autres noms connus, Bernard Ansalem, alors président de la ligue de Haute-Normandie d’Athlétisme, puis président fédéral. Il a été chef de mission de l’équipe de France pour les Jeux Olympiques de Londres en 2012.

Ce que l’on apprécie particulièrement dans cette grande famille qu’est l’athlétisme, c’est que les grands champions sont simples, humbles et accessibles. C’est incroyable avec le palmarès qu’ils ont de pouvoir discuter avec eux et de compter plus encore sur leurs présences lors d’événements locaux. 

D’autres acteurs ont joué un rôle dans le développement des Mille-Pattes, à l’image de Rémy Lambert, président du club de Louviers et responsable du Challenge Carrington.

En 2004, le club opère un tournant décisif, sur les conseils de ce mécène, pour labéliser la course des Foulées Nocturnes (25e édition cette année).

On a adhéré à la Fédération Française d’Athlétisme mais on voulait rester libres de nos actes. Et depuis cette date, on ne regrette rien. On a une légitimité reconnue en tant que club.

Une complicité hors du stade

Un autre facteur semble déterminant, d’après l’expérience de Patrick, pour vivre pleinement sa passion, c’est de la partager avec la personne avec laquelle on vit.

Marianne participe activement à l’animation du club et occupe la fonction de secrétaire informatique fédérale. Elle réalise des contrôles anti-dopage sur les courses tandis que Patrick est chronométreur régional. Un tandem qui permet d’affronter les bonnes années comme les plus difficiles.

C’est vrai que tout ne s’est pas fait facilement, en 30 ans, on a eu le temps d’apprendre et j’apprends encore, c’est vrai. Mais depuis toujours, le hasard et la passion sont devenus les sources de notre association, la bonne humeur et le plaisir sur les courses, pour rire, se faire plaisir sans entraver la réussite sportive. Aujourd’hui, on ne peut plus courir mais on est toujours dans cet univers qu’on affectionne. On a bien pensé, une année à tout laisser tomber mais c’est vraiment ce qu’on aime. C’est très agréable de voir progresser les adhérents. 

Ouverture d’esprit

Depuis treize ans, les Mille-Pattes sont également partenaires de l’opération Sport ma santé et sont agréées auprès de la Jeunesse et des Sports, pour ouvrir la pratique de l’athlétisme à tous.

La première année, on a eu le plaisir d’avoir Hamadou M’Baye, ancien sportif de haut niveau, spécialiste du 400 m haies. Il a participé aux Jeux olympiques de Séoul en 1988 et d’Atlanta en 1996. On a eu aussi Wilfrid Boulineau, spécialiste des épreuves combinées l’année où le plateau sportif de Romilly-sur-Andelle était en construction. On s’est retrouvé à Perriers-sur-Andelle, avec près de 200 enfants et il en était tout étonné. La prochaine édition du 15 mai se fera avec Mokhtar Benhari, triple champion de France de cross-country. C’est un homme qui vient pour donner des conseils aux jeunes, dans le cadre de la pratique sportive et avoir une vie saine, sans donner la liste de ses succès. 

Partager les actions

Patrick est un homme très investi et compte également sur l’appui bénévole d’un entraîneur, depuis presque deux ans, Mohamed Aguezzailou.

Il a pris en charge les séances de chacun des cinquante licenciés du club et a initié des stages découvertes de l’athlétisme durant les vacances.

Après avoir fête dignement ses 30 ans il y a quelques jours, le club des Mille-Pattes se prépare à accueillir le 22 juin l’opération Kid Athlé pour laquelle le plateau sportif de Romilly-sur-Andelle est en cours d’homologation. La piste de 250 m sera réservée, ce jour-là, aux jeunes licenciés de la Fédération d’Athlétisme.

On a démarré avec un nom peut-être idiot mais aujourd’hui, nous avons une reconnaissance. Notre club bouge et on espère que dans cent ans, on parlera toujours du club des Mille-Pattes de Romilly-sur-Andelle.

Calvados : un adolescent entre la vie et la mort après un accident de moto

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Les pompiers du Calvados ont pris en charge l'adolescent, grièvement blessé après un accident de moto.

Les pompiers du Calvados ont pris en charge l’adolescent, grièvement blessé après un accident de moto. (©Illustration Actu.fr)

Grave accident, samedi 25 mai 2019, sur les routes du Calvados. En début de soirée, un jeune homme a été grièvement blessé dans un accident de moto à Souleuvre-en-Bocage.

Lire aussi : Accident mortel à Dives-sur-Mer : un automobiliste de 78 ans a percuté un arbre

Il percute une remorque de tracteur

C’est un peu après 19 heures que les pompiers ont été appelés pour un accident de la route. Sur la route départementale 674, au lieu dit Sainte-Marie-Laumont, un jeune homme en moto a percuté une remorque de tracteur.

Âgé de 16 ans, l’adolescent a été grièvement blessé dans le choc. Médicalisé par le SMUR, il a été transporté au CHU de Caen en situation d’urgence absolue.


Lille. Le Wally's coffee va ouvrir une boutique 100 % freakshakes !

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A Lille (Nord), le Wally's coffee va ouvrir une boutique 100 % freakshakes !

A Lille (Nord), le Wally’s coffee va ouvrir une boutique 100 % freakshakes ! (©Archives/Julie Kiavué – Lille Actu)

On en avait rêvé, ils vont le faire ! Le Wally’s coffee va ouvrir un deuxième local à Lille (Nord) et il sera entièrement consacré à la spécialité de la maison : les célèbres freakshakes !

L’établissement l’a annoncé officiellement sur les réseaux sociaux : 

 Le Wally’s Coffee lance son nouveau concept 100% Freakshakes. Une nouvelle boutique qui sera dédiée à la gourmandise, et au bonheur ».

Lire aussi : Exclu Lille Actu : Victime de leur succès, le Wally’s Coffee et ses Freakshakes déménagent bientôt

Dans les anciens locaux

Et c’est dans un lieu que les fans de l’établissement connaissent bien que cela se passera puisque ce sont les anciens locaux du Wally’s, place Philippe Lebon. 

Vous y dégusterez donc ces milk-shakes délicieusement monstrueux sur lequel sont posée une pâtisserie maison, comme une part de brownie au chocolat, et quelques décorations.

Lorsqu’on a lancé le Freakshake, ça a été le buzz ! Il se lançait tout juste en Australie quand on l’a découvert. Ça faisait un carton là-bas, alors on s’est dit ‘pourquoi ne pas le tester à Lille ? », nous expliquait récemment Wally, gérant des lieux.

Aucune date n’a filtré pour le moment sur l’ouverture de cette boutique. Affaire à suivre.

⛔ Âmes sensibles et ceux qui font ramadan, s'abstenir 😍😀.Ils débarquent !Qui sont ils?????📢 " les FREAKSHAKES du…

Publiée par Wally's coffee sur Jeudi 23 mai 2019

Yvelines. Trouvez un poste d'animateur pour l'été à Plaisir

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La ville de Plaisir (Yvelines) recherche des saisonniers pour ses centres de loisirs.

La ville de Plaisir (Yvelines) recherche des saisonniers pour ses centres de loisirs. (©(photo d’illustration))

La ville de Plaisir (Yvelines) cherche des animateurs pour travailler dans ses centres de loisirs cet été.

Alors que d’habitude, la municipalité propose aux jeunes des rendez-vous pour recruter ses saisonniers, cette année, elle a décidé d’innover avec des jobs dating.

Cela permet d’accueillir plus de monde, d’être moins restrictif », indique Adeline Mara, chef de service conseil en organisation de la Ville.

Contrats de vacation

Un premier job dating des animateurs a eu lieu mercredi dernier.

Le deuxième se déroulera mercredi 29 mai, à la Maison de l’entreprise et de l’emploi.

Plaisir recherche des saisonniers, à partir de 18 ans, pour travailler en contrat de vacation, en juillet et/ou août dans la dizaine de centres de loisirs ouverts.

Il faut avoir au moins la partie théorique du BAFA (Brevet d’aptitude aux fonctions d’animateur) », prévient Adeline Mara.

La Ville propose également trois stages pratiques BAFA qui peuvent ensuite déboucher sur un contrat de vacation.

Le salaire d’animateur est de 10,13 euros brut de l’heure auxquels s’ajoutent les congés payés. En revanche, les stages ne sont pas rémunérés.

Lors du job dating, les candidats sont reçus par des coordonnatrices et responsables des centres de loisirs.

On échange sur ce qu’ils recherchent, la tranche d’âge dont ils souhaitent s’occuper, la période à laquelle ils souhaitent travailler. On s’adapte à leurs désirs, décrit Adeline Mara. On fait ensuite une sélection puis les personnes retenues sont recontactées et affectées à un centre de loisirs. Des réunions sont également organisées avant la prise de poste. »

La Ville recherche des jeunes motivés, qui s’intéressent aux enfants et qui sont force de proposition.

Job dating des animateurs, mercredi 29 mai, de 12h à 17h30, à la Maison de l’entreprise et de l’emploi, 14, boulevard Léon-Blum. Venir muni d’un CV et d’une lettre de motivation.

Roller ou stand up paddle : surfez sur la tendance à Vernon

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Le stand up paddle est une discipline nautique ouverte à tous,

Le stand up paddle est une discipline nautique ouverte à tous,

À l’approche de l’été, la ville de Vernon (Eure) s’anime. Jusqu’au 2 juillet, des initiations gratuites sont proposées aux habitants. Avec deux choix possibles : du stand up paddle les vendredis ou une activité terrestre avec Vernon roller, qui organise des sorties d’engins à roulettes chaque mardi soir.

Lire aussi : PHOTOS. Retrouvez les images de la première soirée de Vernon Roller

Situé entre le kayak et le surf, le stand up paddle (SUP) est un des sports du moment. Nul besoin d’être un sportif accompli pour apprécier ce sport de glisse qui se pratique aussi bien en eau vive qu’en mer. Coralie Roquette, responsable de l’activité confirme :

On peut en faire à partir de 12 ans et il n’est pas nécessaire d’être au top physiquement pour pouvoir pratiquer, la seule obligation est de savoir nager.

Pour la tenue, un tee-shirt microfibre et un short sont suffisants. Une fois le gilet de sauvetage enfilé, c’est parti pour une boucle de 2 km en direction de Saint-Marcel. Sport nature comme la marche, le SUP permet de découvrir la Seine et ses berges sous un angle différent.

On peut observer la faune et la flore avec la sensation de marcher sur l’eau. Les vues sont magnifiques. Les gens sont toujours impressionnés par le Vieux-Moulin, c’est Vernon vu de la Seine.

Au coucher du soleil

Une balade que l’on peut aussi faire sur terre, avec Vernon Roller, les mardis soir. Rollers, trottinettes et autres engins à roulettes s’élancent du parc des Tourelles pour évoluer sur les berges de Seine, jusqu’au 2 juillet, de 20 h à 22 h.

Un premier parcours fait 2,1 km au départ du Parc des Tourelles jusqu’à Manitôt. Le deuxième poursuit sur la voie André Touflet jusqu’à l’entrée de Giverny, pour un total de 3 km. L’occasion de profiter du coucher de soleil sur la Seine.

Stand up paddle, à la base nautique des Tourelles, chaque vendredi jusqu’à fin juin de 18 h à 19 h 30. Fermeture exceptionnelle le vendredi 31 mai. Réservation au 06 79 79 56 71.

Pour Vernon Roller, rendez-vous le 28 mai et les mardis 4, 11, 18 et 25 juin puis mardi 2 juillet de 20 h à 22 h.

Top 14. Clermont insère une marque dans son nouveau logo, les supporters mécontents !

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Le nouveau logo de Clermont n'a pas fait l'unanimité.

Le nouveau logo de Clermont n’a pas fait l’unanimité. (©Youtube ASM)

Vous l’avez sans doute aperçu hier lors de la dernière journée de Top 14 ! L’ASM Clermont a dévoilé son nouveau logo lors de la réception de Montpellier à Marcel-Michelin. Un logo davantage épuré et proche de l’ancien logo historique. En bref, plutôt une réussite de la part du club clermontois. À un détail près.

LIRE AUSSI : Top 14. Camille Lopez provoque l’appel à la vidéo de M. Raynal et l’élimination de Castres !

En effet, sur la partie haute de ce nouveau logo, le « A » de l’inscription « Clermont Auvergne » a été remplacé par… un autre logo ! Celui de la région Auvergne-Rhône Alpes. Une initiative qui est loin d’avoir fait l’unanimité auprès des fidèles supporters des « Jaune et Bleu ». Lesquels ont exprimé leur mécontentement sur les réseaux sociaux.

Dans son communiqué de présentation, le club a déclaré : « La volonté d’associer le club et la marque Auvergne, n’est ni politique, ni financière… elle est identitaire. C’est une collaboration qui a pour vocation de marquer notre territoire auvergnat et d’en être fier ! » Pas certains que cet argument suffise à satisfaire les supporters des Jaunards, déjà agacés par la première défaite à domicile de la saison encaissée hier contre le MHR (27-28).

75e anniversaire du Débarquement : un pommier planté pour chaque année de paix

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<I>Avec quelques pelletées de terre symboliques, le président Lefèvre a inauguré le verger de la liberté.</I>

Avec quelques pelletées de terre symboliques, le président Lefèvre a inauguré le verger de la liberté. (©PIQUOT François)

Mardi 21 mai , 45 salariés du conseil départemental de la Manche se sont retrouvés à la Ferme-Musée du Cotentin, propriété du Département à Sainte-Mère-Eglise, pour une plantation de pommiers haute tige.

Marc Lefèvre, président du conseil départemental explique cette initiative : 

Parmi les très nombreuses idées qui ont été formulées pour marquer le 75e anniversaire du Débarquement, nous avons retenu celle de planter de 75 pommiers, un par année de paix depuis le D-Day. Quoi de plus symbolique de la Normandie en effet que des pommiers en fleurs ? 

Lire aussi : Cimetières provisoires à Sainte-Mère-Eglise de 1944 à 1948 : des témoins racontent

Une étiquette avec le nom du parrain

« Le personnel a été associé à l’opération avec le parrainage d’un arbre. Soixante-neuf ont accepté la proposition. Les six arbres restants ont été parrainés par des conseillers départementaux. »

Après le dernier coup de pelle symbolique donné par Marc Lefèvre, chacun des parrains a accroché à son arbre l’étiquette qui porte son nom et qui indique aussi la variété de pommes et ses caractéristiques. Au total, il y a 12 variétés de pommes à cidre et 49 à couteau bien de chez nous et 12 variétés américaines en hommage au D-Day.

Cette plantation a également l’avantage de reconstituer le verger que possédait naguère la Ferme-Musée sur des parcelles en location, qui ont depuis été vendues à un exploitant agricole.

Lire aussi : Le programme du 75e anniversaire du Débarquement à Sainte-Mère-Église

« L’Europe comme solution de paix »

Dans son allocution, le président Lefèvre a rappelé que les 75 dernières années vécues en paix sont à mettre au crédit de la création de l’Europe :

Il n’est pas inutile de rappeler les fondamentaux. Les ennemis d’hier ont su que la solution contre la guerre, c’était l’Europe. Il faut s’en souvenir à l’heure où certaines idéologies reviennent sur le tapis. Un peuple qui oublie son passé est condamné à le revivre.

Les salariés du conseil départemental ont ensuite visité les lieux, guidés par leurs collègues de la Ferme-Musée, avant le coup de l’étrier, avec du cidre bien entendu.

Lire aussi : 75e anniversaire du Débarquement : un artiste manchois crée un arbre de la Liberté

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