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Le groupe scolaire Cize-Ney a été inauguré vendredi

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Les élus dont le président de la com'com et le maire de Cize (à droite) ont coupé le ruban devant le Préfet.

Les élus dont le président de la com’com et le maire de Cize (à droite) ont coupé le ruban devant le Préfet. (©Christophe Belhomme)

Deux salles de classe pour le primaire, une bibliothèque, une salle des professeurs, un bureau pour le directeur, des locaux techniques, des sanitaires et une belle salle de motricité, le tout pour 540 m2 d’extension, sans oublier la création d’un préau lumineux dans la partie existante. Le groupe scolaire de Cize-Ney Les Cerisiers Câlins a été étendu et réhabilité, un projet porté par la Communauté de communes Champagnole, Nozeroy, Jura qui a fière allure.

Une réussite

À Cize, il y avait déjà les maternelles. L’objectif était donc d’accueillir les primaires qui étaient auparavant à Ney. La collectivité poursuit son programme de rénovation des bâtiments scolaires, et vendredi soir, c’est le préfet Richard Vignon qui a pu constater de visu que ces travaux étaient bel et bien une réussite. L’ensemble représente 1,2 M d’€ HT d’investissement, les travaux entamés en 2017 se sont achevés durant l’été 2018. Les locaux étant situés sur le territoire de Cize, c’est le maire Philippe Wermeille qui a ouvert la cérémonie évoquant « un moment heureux, il est rare que l’on inaugure une école pendant un mandat municipal ».

Il a rappelé les grandes dates de cette extension/réhabilitation. Dès 2006, l’Éducation nationale incite au regroupement et à la création d’un RPI. Les deux maires acceptent. En 2014, l’aide de la com’com est sollicitée, et 4 ans après, la rentrée a été effective grâce aux entreprises et aux architectes.

« Ce bâtiment n’existerait pas sans la clairvoyance des gens de Ney qui ont accepté d’investir hors de leur territoire ».

Des remerciements à l’ancien préfet

Les remerciements de Philippe Wermeille sont allés également à l’État et au Préfet de l’époque Jacques Quastana « qui a accepté de dépasser les 35 % réglementaires par classe. »

Des enfants ont décrit la nouvelle école : « Grande, calme, éclairée, rassurante, idéale, spacieuse, imposante, élégante, silencieuse. Incontestablement, elle nous sublime… » 

Clément Pernot, président de la com’com, s’est dit satisfait de cette belle réalisation en deux étapes, « fruit d’une harmonie sympathique » entre les élus de Ney et Cize.

« C’est un climat très positif. Nous voulons donner aux enfants du territoire les meilleurs moyens de réussir. C’est la raison pour laquelle nous avons pris la compétence intercommunale. L’objectif porté par mon prédécesseur André Jourdain est tenu ».

Il a adressé un message tout particulier au préfet Richard Vignon.

« L’actualité fait prévision de fermeture d’écoles sur le territoire. Vous comprendrez que je m’associe forcément à tous ceux qui se battent pour inverser cette tendance notamment à l’école Ferry ».

Le Préfet, lui, a rappelé l’aide exceptionnelle de l’État pour cet équipement. Il a également déclaré que l’Etat « ouvre également des classes dans le Jura et que la balance n’est pas aussi déficitaire que cela… »

Les parents et les enfants étaient au rendez-vous...

Les parents et les enfants étaient au rendez-vous… (©Christophe Belhomme)


L'actu vue par Djony : les idées reçues sur Alençon

Orne Habitat lance une application pour trouver un logement facilement dans l'Orne et dans l'Eure

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Une application qui permet de se connecter de n'importe où, à n'importe quel moment

Une application qui permet de se connecter de n’importe où, à n’importe quel moment

Vous recherchez un logement social ? Orne Habitat vient de créer une application mobile permettant la recherche de logements disponibles dans l’Orne et dans l’Eure, accessibles à tous, même à ceux qui ne sont pas déjà locataires du bailleur social. Une façon de mieux commercialiser leurs logements en luttant contre les vacances de leur parc immobilier locatif.

Comme une agence immobilière

Le principe est simple. Il suffit de définir vos critères (localisation, type de logement, montant du loyer, surface minimum, nombre de chambres, disponibilité) et ensuite vous lancez la recherche. S’il existe un ou plusieurs biens libres correspondant à votre demande, vous en avez immédiatement connaissance. Pour chacun, photos de l’extérieur du bâtiment et de l’intérieur de l’appartement ou de la maison, superficie, nombre de pièces, prix du loyer et diagnostic énergétique sont affichés.

Dans le cas contraire, un message vous invite à contacter Orne habitat « afin que nous vous proposions un bien prochainement disponible ». L’application permet également de partager les annonces avec d’autres personnes ou encore de sélectionner vos coups de cœur en favoris.

Téléchargez l’appli

L’application, qui s’appelle tout simplement « Orne Habitat », est téléchargeable gratuitement sur l’Apple Store et Google Play.

Bon à savoir, ce service est également disponible sur le site internet d’Orne Habitat.

La voie de chemin de fer Loudéac - Saint-Brieuc défrichée mais toujours pas libre...

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Une vingtaine de bénévoles à l'œuvre mercredi 20 février aux abords d'un passage à niveau sur la route de Loudéac à La Motte.

Une vingtaine de bénévoles à l’œuvre mercredi 20 février aux abords d’un passage à niveau sur la route de Loudéac à La Motte.

Laissée à l’abandon depuis deux ans, la voie ferrée Loudéac – Saint-Brieuc risquait de disparaître sous une végétation de plus ne plus dense. Les bénévoles de l’association des Chemins de fer du Centre-Bretagne (CFCB) ont décidé de prendre les choses en main avant qu’il ne soit trop tard.

Une vingtaine d’entre eux sont venus défricher la voie sur plusieurs centaines de mètres de part et d’autre de deux passages à niveau sur la route de La Motte. Il était grand temps de faire quelque chose pour sauvegarder cette ligne comme l’explique le président du CFCB, Michel Joindot :

Encore quelques mois, et ça devenait irrécupérable.

C’est le secrétaire des CFCB, Loïc Chrétien, qui a monté l’opération, au PN 42 à Loudéac, mercredi matin et au PN 40, à La Motte dans l’après-midi.

Depuis la disparition du trafic de fret sur cette ligne, l’association a continué de faire rouler, dès 2005, des trains touristiques.

Mais depuis un incident de maintenance survenu en février 2017, toute circulation de train est interdite ; les passages à niveau n’étaient plus sûrs.

Pas de trafic de marchandises, donc pas de rentabilité : « SNCF réseau n’a plus d’intérêt à entretenir une ligne qui ne lui rapporte rien. Mais nous, nous allons la maintenir en état pour le cas où elle serait de nouveau utilisée un jour ».

Le CFCB espère pouvoir remettre en route des trains touristiques et a ouvert des discussions en ce sens avec les collectivités concernées (le Département, Saint-Brieuc Agglo et Loudéac communauté Bretagne Centre) ainsi qu’SNCF Réseau.

Mais à l’heure actuelle, il semble plus aisé de défricher une voie recouverte de végétation que d’avancer concrètement dans les négociations…

C’est un problème administratif autant que technique. Il faut que nous arrivions à trouver une convention avec SNCF Réseau et les collectivités pour avoir un nouveau cadre juridique.

A Dieppe, l'association Deeptown veut envoyer des planches de surf au Mexique

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L'association Deeptown est en contact avec des jeunes mexicains qui aiment surfer.

L’association Deeptown est en contact avec des jeunes mexicains qui aiment surfer. (©DR)

La communauté des surfeurs ne connaît pas de frontières. Alors quand il s’agit de donner un coup de pouce de l’autre côté de l’Atlantique, les membres de l’association Deeptown, à Dieppe (Seine-Maritime) ne dérogent pas à la règle. Cette année, direction le Mexique. Avec toujours la même motivation : aider des jeunes à pratiquer leur sport avec du matériel de seconde main.

L’année dernière, pour la première fois, ce type d’action avait été mené en faveur d’enfants jamaïcains. Tom Jeannon, l’un des membres de Deeptown souligne :

« Nous leur avions apporté six planches de surf, 150 pains de wax (cire) offerts par Greenfix et Décathlon à Dieppe, des maillots de bain, des ailerons et des leashs (N.D.L.R. : sorte de bracelet qui relie la cheville du surfeur à sa planche). Mais aussi sept planches de bodyboard fournies avec des palmes grâce au soutien de l’association Surfeurs Solidaires Pays Basque. »

Grâce à ce don, six enfants de la paroisse de Saint-Thomas, de Bull Bay et de Boston Bay peuvent surfer régulièrement. L’équipe de Deeptown s’est rendue sur place en février dernier. « Une première officielle ! sourit Tom Jeannon qui vivant sur place acheminait déjà un peu de matériel à l’occasion. Là-bas, aucun magasin ne vend ce type de produit. »

Selon lui, des surfeurs californiens auraient aussi fait jouer leur réseau pour fournir les jeunes Jamaïcains.

L'année dernière, l'association Deeptown acheminé du matériel de surf vers la Jamaïque.

L’année dernière, l’association Deeptown acheminé du matériel de surf vers la Jamaïque. (©DR)

Lire aussi : Une permanence pour le droit à mourir dans la dignité à Dieppe

Des envois de vêtements

Une fois les planches fournies, l’aventure ne s’arrête pas là : une journée d’initiation a été organisée. « Puis, comme un grand frère, Ronley veille pour que les enfants progressent », confie le Dieppois Tom Jeannon. Cette année, il va leur rendre visite pour observer leur évolution.

Des vêtements ont aussi été envoyés à des enfants en 2018 en partenariat avec l’école Richard-Simon de Dieppe. « Et un de mes amis vient juste d’expédier 23 kg de fringues pour des écoliers de Rockfort, à Kingston », lance Tom Jeannon.

Le surfeur, originaire de la cité aux quatre ports, voyage beaucoup. En vivant un an et demi au Mexique, il s’est rendu compte du manque de matériel notamment à Huatulco dans l’état d’Oaxaca. Un appel est donc lancé :

« Nous collectons des planches de surf, des ailerons et des leashs en bon état ou cassés. Sur place, nous allons les réparer et leur donner une seconde vie. »

Les jeunes Mexicains sont encadrés par Silverio, l’aîné du groupe. Comme Ronley en Jamaïque, il s’occupe des plus jeunes et de la réparation du matériel.

Des vêtements sont régulièrement envoyés en Jamaïque à destination des écoliers.

Des vêtements sont régulièrement envoyés en Jamaïque à destination des écoliers. (©DR)

Une cagnotte en ligne

L’association Deeptown aimerait créer de vraies écoles de surf dans ces pays mais l’acheminement des planches coûte cher. Une cagnotte a donc été mise en place sur le site internet. « Bien sûr nous collectons du matériel mais ceux qui le souhaitent peuvent aussi nous aider financièrement », précise Tom Jeannon.

Les Dieppois pourraient alors envisager un soutien plus conséquent outre-Atlantique. « Comme transporter des planches de surf pour débutants, plus grandes et plus lourdes », poursuit-il.

Pour la cagnotte, tapez le lien suivant dans la barre URL : www.leetchi.com/c/deeptown-to-mexico

Grand débat. À Aurillac, des stands de proximité sont installés pour recueillir les idées

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Des cahier des doléances ont été installés dans les mairies du Cantal.

Des cahier des doléances ont été installés dans les mairies du Cantal. (©Photo d’illustration.)

Dans le cadre du grand débat national engagé depuis le 15 janvier 2019 jusqu’au 15 mars 2019 sur tout le territoire, plusieurs dispositifs sont mis en place pour permettre aux Français de s’exprimer sur les questions essentielles traitant de leur quotidien et de leur avenir.

Les stands de proximité

Des stands de proximité sont mis en place dans des lieux de passages du quotidien pour permettre à ceux qui le souhaitent de donner leur avis sur les thématiques mises au débat. Ils sont animés par un binôme de jeunes animateurs chargé de diffuser de l’information sur le grand débat et de recueillir la
parole citoyenne.  Dans le Cantal, un stand de proximité est installé au bureau de poste situé 10 rue Salvador Allende à Aurillac : le mercredi 20 février 2019 jusqu’à 18h et le jeudi 21 février 2019 de 9h à 12h et de 13h30 à 17h30.

Les cahiers citoyens

Les maires ont été invités, dans le cadre du grand débat national, à mettre à disposition du public dans les mairies des cahiers citoyens, pour recueillir la parole citoyenne. Le mercredi 20 février 2019 marque la date de clôture de ces cahiers citoyens, qui sont remis par les maires à la préfecture.
Ensuite, l’ensemble des cahiers citoyens seront transmis par la préfecture à un prestataire chargé de retranscrire en format numérique ces contributions, et de les rendre accessibles en format « open data » dans le respect de la gestion des données personnelles.

Un prestataire indépendant sera par ailleurs chargé de l’analyse de l’ensemble des contributions indique la Préfecture du Cantal.

Les réunions d’initiatives locales

Plusieurs réunions d’initiatives locales se sont tenues dans le département, et d’autres sont organisées jusqu’au 15 mars 2019. Chacun peut avoir accès à la liste des débats organisés dans sa région, dès lors qu’ils sont enregistrés sur le site internet du Grand débat. Ce site met également à disposition toutes les informations pratiques pour ceux qui souhaiteraient organiser une réunion d’initiative locale.

Les comptes-rendus de ces réunions doivent impérativement être enregistrés sur ce site, pour pouvoir être pris en compte dans le cadre du grand débat national, même si les réunions n’ont pas été préalablement enregistrées en ligne. Les contributions individuelles en ligne
Chaque citoyen peut apporter une contribution individuelle au grand débat national sur le site du Grand débat jusqu’au 15 mars 2019.

Toulouse : dans ce classement, le TFC est meilleur que le PSG et le Bayern Munich

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Le défenseur du TFC Kelvin Amian (ici contre Reims en janvier 2019 au Stadium) est le symbole de ces jeunes qui jouent beaucoup. Depuis 2016, il a joué près de 80 matchs de Ligue 1 avec les Violets.

Le défenseur du TFC Kelvin Amian (ici contre Reims en janvier 2019 au Stadium) est le symbole de ces jeunes qui jouent beaucoup. Depuis 2016, il a joué près de 80 matchs de Ligue 1 avec les Violets. (©Icon Sport)

Le TFC 15e de Ligue 1 française… mais 11e club européen ! Selon une étude du CIES Football Observatory, un groupe de recherche spécialisé dans l’analyse statistique dans le football, le Toulouse Football Club (TFC) fait partie du gratin européen (des cinq grands championnats que sont l’Espagne, l’Angleterre, l’Italie, l’Allemagne et la France) au sujet des jeunes joueurs qui ont cumulé le plus de temps de jeu, sur la période janvier 2014-février 2019.

Quatrième club français

Ce classement, centré sur la qualité de la formation et l’utilisation des jeunes joueurs au plus haut niveau, est dominé par le FC Barcelone (319 224 minutes), le Real Madrid et Lyon (Rhône). Le club présidé par Olivier Sadran pointe à la 11e position et côtoie les plus grands. Les Violets se permettent même le luxe de devancer le PSG (12e), Arsenal (15e) et le Bayern Munich (17e) ! Le TFC est le quatrième meilleur club français de ce palmarès derrière Lyon (3e), Rennes (4e) et Monaco (8e).

>> Voici le classement complet du CIES : <<

Le classement complet du CIES/

Le classement complet du CIES/ (©Capture d’écran)

Un centre de formation reconnu

Pourquoi un classement aussi flatteur alors que les résultats sportifs ne sont pas bons ? D’abord, les Violets sont régulièrement bien classés dans les meilleurs centres de formation du pays. Pour la saison 2017-2018, le TFC était classé 6e, selon un baromètre officiel établi par la Fédération française de football (FFF).

LIRE AUSSI : Classement. Le Toulouse Football Club, 6e meilleur centre de formation de France

Des Pitchouns à aujourd’hui

Ensuite, le club, qui a un budget limité, a toujours misé sur sa jeunesse au plus haut niveau, de l’époque des Pitchouns au début des années 2000 (Taïder, Fauré, Cardy…) jusqu’à aujourd’hui, en passant par la génération dorée des Sissoko et autres Capoue.

Ces dernières saisons, le TFC a sorti quelques belles pépites comme le défenseur central Issa Diop (qui fait les beaux jours de West Ham, en Angleterre), Alban Lafont (qui évolue en Italie à la Fiorentina), Yann Bodiger (qui avait marqué le fameux but du maintien en Ligue 1 à Angers en mai 2016), Alexis Blin, Kelvin Amian, Jean-Clair Todibo (transféré à Barcelone)… Des jeunes qui ont emmagasiné beaucoup de temps de jeu sur les pelouses de France.

Diakité future pépite ?

Actuellement, le jeune à suivre du côté du Stadium se nomme Bafodé Diakité, 10e joueur de 18 ans (année 2001) le plus expérimenté en Europe, toujours selon le CIES.

Voilà un classement qui doit ravir Olivier Sadran. À défaut de partenariat avec Manchester City…

LIRE AUSSI : TFC : Manchester City n’entrera pas au capital du club, le transfert de Todibo en cause ?

Manche : 5 bonnes raisons d’être au rendez-vous du carnaval de Granville

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La 145e édition du carnaval de Granville (Manche) va se dérouler du 1er au 5 mars 2019. Avec 150 000 visiteurs, c'est l'un des plus gros de l'Ouest de la France.

La 145e édition du carnaval de Granville (Manche) va se dérouler du 1er au 5 mars 2019. Avec 150 000 visiteurs, c’est l’un des plus gros de l’Ouest de la France. (©Hélène Perraudeau – Côté Manche (archive).)

1/ Pour l’ambiance

Un vent de folie et de liberté souffle sur Granville pendant 5 jours. La ville défile en musique, avec le sourire aux lèvres. On ne se prend pas au sérieux, l’ambiance est bon enfant, tout le monde se parle. C’est ça aussi l’ambiance carnaval ! Pour un peu que vous soyez maquillés ou déguisés, vous serez encore plus dans le bain ! Et si le soleil est de la partie, la fête n’en est que plus belle. L’an dernier, le carnaval a accueilli environ 150 000 visiteurs. C’est le plus important de l’Ouest de la France.

2/ Pour en prendre plein les yeux

La 145e édition du carnaval de Granville (Manche) va se dérouler du 1er au 5 mars 2019. Avec 150 000 visiteurs, c'est l'un des plus gros de l'Ouest de la France.

La 145e édition du carnaval de Granville (Manche) va se dérouler du 1er au 5 mars 2019. Avec 150 000 visiteurs, c’est l’un des plus gros de l’Ouest de la France. (©Hélène Perraudeau – Côté Manche (archive).)

Les temps forts du carnaval sont les cavalcades satiriques et humoristiques (le dimanche et le mardi). Elles rassemblent pas moins de 45 chars et 3 000 carnavaliers qui défilent, accompagnés par des fanfares. Couleurs, déguisements plus originaux les uns que les autres, confettis : on en prend plein les yeux !

3 / Pour le jugement du Roi

C’est aussi l’un des moments phare du carnaval : comme tous les ans, le dernier jour du carnaval, le roi – sa majesté Charbonique 1er – sera jugé en place publique et condamné à être brûlé dans le port. La foule est au rendez-vous.

4 / Pour la bataille de confettis

Elle se déroule après l’exécution du roi, sur le Cours Jonville. L’an dernier, 7 tonnes de confettis ont été lancées. La garantie, pour les participants à la bataille, de repartir avec de nombreux souvenirs du carnaval incrustés dans leurs vêtements !

5 / Pour les intrigues

La 145e édition du carnaval de Granville (Manche) va se dérouler du 1er au 5 mars 2019. Avec 150 000 visiteurs, c'est l'un des plus gros de l'Ouest de la France.

La 145e édition du carnaval de Granville (Manche) va se dérouler du 1er au 5 mars 2019. Avec 150 000 visiteurs, c’est l’un des plus gros de l’Ouest de la France. (© Côté Manche (archive).)

Les « intrigues » sont une des spécificités du carnaval de Granville. Elles se déroulent à partir du mardi soir et pendant toute la nuit, à la fin du carnaval. Seuls ou en groupes, les intrigants, entièrement déguisés afin de ne pas être reconnus, se déplacent dans les bars, les restaurants ou chez l’habitant, pour « intriguer » leurs connaissances. Le but est de ne pas être reconnu tout en montrant à l’intrigué qu’on le connaît en lui racontant des anecdotes, en lui donnant des indices. Les « intrigués » peuvent poser des questions aux « intrigants » pour essayer de deviner qui se cache sous le masque. Pour répondre, l’intriguant déguise également sa voix.

Pratique. 145e édition du carnaval de Granville, du vendredi 1er au mardi 5 mars. Toutes les informations et la programmation sont à consulter sur le site internet du carnaval.


Essonne. Christophe Dettinger quitte Fleury pour rejoindre Corbeil-Essonnes

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Christophe Dettinger avait publié une vidéo pour s'expliquer

Christophe Dettinger avait publié une vidéo pour s’expliquer (©capture écran)

Ce mercredi 20 février, Christophe Dettinger a quitté la maison d’arrêt de Fleury-Mérogis. L’ancien champion de boxe de 37 ans avait été condamné le 13 février dernier à un an de prison ferme, aménageable en semi-liberté, et 18 mois de sursis avec mise à l’épreuve pour avoir frappé deux gendarmes lors de l’acte VIII des Gilets jaunes à Paris.

Direction Corbeil-Essonnes

« J’ai toujours une peine à faire, a-t-il lâché aux caméras de BFM, présentes sur place. C’est toujours pénible, mais c’est le prix à payer ».

L’Essonnien va maintenant prendre la direction du centre de semi-liberté de Corbeil-Essonnes, au sein duquel il devrait passer toutes ses nuits durant un an. Ce père de trois enfants, originaire d’Arpajon pourra aller sur son lieu de travail en journée. Toutefois, il a interdiction de paraître à Paris pour une durée de six mois au risque de se voir retirer son régime de semi-liberté, comme le prévoit la décision de justice du 13 février.

Le Neubourg. Un service civique pour s’épanouir

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Avant d’obtenir son service civique, Florine Huart étudiait à l’IUT d’Évreux.

Avant d’obtenir son service civique, Florine Huart étudiait à l’IUT d’Évreux. (©Le Courrier de l’Eure)

Elle habite Beaumont, elle a 20 ans et c’est la nouvelle recrue de l’association Mouvement rural de jeunesses chrétiennes (MRJC) du Neubourg.

Mercredi 6 février 2019, Florine Huart a commencé son contrat civique de six mois.

Une véritable opportunité pour celle qui souhaite reprendre des études à la fin de son contrat après avoir obtenu un DUT PEC (Packaging, emballage et conditionnement).

Quand je suis tombée sur l’annonce, je n’ai pas hésité

Florine Huart explique aussi : « Ce n’était pas vraiment dans mes plans de faire un service civique mais cela va me permettre d’étudier en imagerie médicale dès la rentrée prochaine. »

« Je veux mieux me connaître »

Durant ses six mois de contrat, celle qui dit « s’intéresser au climat et à l’environnement depuis longtemps » ne compte pas faire les choses seules.

La jeune femme souhaite avant tout privilégier l’échange avec les participants pour améliorer les projets mais aussi s’améliorer sur le plan personnel. « Je souhaite voir et écouter pour savoir ce que les gens veulent faire pour que l’on soit tous sur la même longueur d’onde », expose Florine. « Cela va me permettre d’aller plus loin sur mes projets et de me rendre plus autonome. À la fin de mon contrat, je veux mieux me connaître. »

Lors de son service civique, les missions de la jeune femme seront simples. Elle devra créer un potager participatif qui doit voir le jour rue de Verdun au Neubourg.

En plus de cela, la Beaumontaise de naissance sera chargée d’animer l’événement « Bougeons pour le climat » qui aura lieu cet été ainsi que d’organiser les 90 ans du MRJC. L’association lui finance son Bafa

Pour Aline Pichereau-Quentin, animatrice permanente du MRJC dans l’Eure, Florine Huart a toujours été son premier choix : « Nous avons mis l’annonce il y a deux semaines et Florine a été la première à répondre. Le jour de l’entretien, sa motivation et son dynamisme nous ont convaincus qu’elle était la personne qu’il fallait. »

En échange de ses services, l’association s’est engagée, en plus d’une rémunération de 500 €, à financer son Bafa (Brevet d’aptitude aux fonctions d’animateurs).

Val-d'Oise. Aquaciné à Soisy-sous-Montmorency

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Au programme de l'Aquaciné :  la projection de Coco, film d'animation de Disney.

Au programme de l’Aquaciné : la projection de Coco, film d’animation de Disney. (©Dr)

Une eau chauffée à 32 degrés, des bouées géantes et confortables les pieds dans l’eau, un écran de 6 mètres sur 10 et un film à succès…

L’aquaciné est de retour à La Vague à Soisy-sous-Montmorency (Val-d’Oise), centre nautique de la vallée de Montmorency, samedi 23 février à partir de 19h45 pour la projection de Coco, film d’animation de Disney.

Coco au programme

Les places en prévente sont disponibles à l’accueil de La Vague : 6€ pour les enfants (à partir de 6 ans). 9€ pour les adultes (à partir de 12 ans). 4€ en accès gradin (hors bassin, en tenue normale, les pieds au sec !

Il sera possible, dans la limite des places disponibles, de prendre sa place le jour de la projection, au prix de 12 euros.

Attention, les enfants de moins de 12 ans doivent obligatoirement être accompagnés d’un adulte et avoir effectué un test de 25 mètres. ©Disney

En direct. Vidéo : deux pâtissiers de chez Méert cuisinent dans le train entre Lille et Douai !

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Des pâtissiers de la maison Meert ont oeuvré dans le train entre Lille et Douai (Nord) !

Des pâtissiers de la maison Meert ont œuvré dans le train entre Lille et Douai (Nord) ! (© Copie d’écran/Orange)

Evénement original ce mercredi 20 février 2019 : deux pâtissiers de la maison Méert ont cuisiné au milieu des voyageurs du train entre Lille et Douai !

Durant près de 20 minutes, Maxence Wanderberque et Fabien Sens réalisent des créations culinaires pour les voyageurs. Les passagers et internautes de la France entière peuvent interagir avec les pâtissiers grâce à la diffusion de cet événement en direct sur les réseaux sociaux.

Cette opération insolite a été organisée par l’opérateur Orange qui, en diffusant en live sur les réseaux sociaux, tient à prouver l’efficacité de son réseau mobile 4 G en mobilité.

La ligne de TER Lille-Douai est couverte à 100% par le réseau 4G d’Orange depuis la fin d’année 2018. L’apport de ce service représente un enjeu crucial pour les usagers. Les français passent en moyenne 1h30 dans les transports chaque jour et sont 49% à consulter leur mobile pendant ces trajets (chiffre 2017) », assure-t-on du côté d’Orange.

Lire aussi : Lille : à seulement 26 ans, Tom Truy-Courties devient le nouveau chef du restaurant Méert

La vidéo : 

Le Sourn. Mondo communication : le fabricant d’objets publicitaires fête ses 30 ans !

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Sur la commune de Le Sourn (près de Pontivy dans le Morbihan), avec  Mondo Communication, Jean-Charles Théaud a repis la marque EMAP…

Sur la commune de Le Sourn (près de Pontivy dans le Morbihan), avec Mondo Communication, Jean-Charles Théaud a repis la marque EMAP… (©PontivyJournal)

Le 17 janvier dernier, au conservatoire de musique de Pontivy (Morbihan), Jean-Charles Théaud était aux côtés des 32 autres dirigeants dont les entreprises ont bénéficié, au titre de l’exercice 2018, d’aides accordées par Pontivy Communauté.

Sa société Mondo Communication a reçu 15 000 € d’aides pour ’’acquisition de bâtiment et réaménagements divers’’. En effet, en avril 2018, Jean-Charles Théaud a repris la société EMAP, créée en 1989 par Hervé Le Guennec sur le parc d’activités de Tréhonin, sur la commune de Le Sourn (près de Pontivy).

EMAP, au départ, c’était pour Émaillage Publicité,

précise le nouveau gérant. « Nous avons conservé ce sigle, bien ancré dans le paysage, comme marque commerciale pour nos produits ».

Une activité multisupports…

Cette marque EMAP s’était notamment fait connaître dans les années 90, à l’apogée du phénomène pin’s. L’entreprise a employé, à l’époque, jusqu’à plus de 20 salariés. Aujourd’hui, la production s’est diversifiée, les procédés de fabrication ont évolué, et la société tourne avec quatre salariés.

Notre force, c’est que notre activité est multisupports, verre, bois, céramique, textile, métal, plastique… Et naturellement multiproduits,

souligne Jean-Charles Théaud. « En fait, nous intervenons sur tout ce qui a trait à l’objet de communication et de publicité. Et comme la plupart des objets sont des supports potentiels, l’activité est très diversifiée ».

Un inventaire ’’à la Prévert’’…

La liste des objets peut ressembler à un inventaire à la Prévert, du tee-shirt à la médaille, des trophées aux stylos en passant par les porte-clés, mugs, bagages, casquettes, sacs, carnets, calendriers, couteaux, tampons encreurs, gourdes, clés USB, chargeurs de téléphones, calculatrices, polaires, souris d’ordinateur, doudounes, petite signalétique, pin’s, enceintes Bluetooth, coffrets sommelier

Et la clientèle est aussi large que la gamme de produits :

Nous nous adressons aux entreprises, collectivités, commerçants, artisans, associations et particuliers,

annonce Jean-Charles Théaud qui ajoute : « Le tout sur une zone de chalandise qui couvre l’ensemble du Centre Bretagne, voire au-delà »…

Pantographe, graveur laser…

Sur la zone de Tréhonin, face à Ardent-Pêche, dans ses locaux de 380 m2 (sur un terrain de 2 300 m2), la société Mondo Communication poursuit sa mue, à l’occasion du 30e anniversaire de la marque, avec six premiers mois de 2019 rythmés par des travaux d’électricité, de peinture, de rénovation de l’accueil, des bureaux et du hall d’exposition, et de réagencement de l’ensemble.

Pendant ce temps, dans les ateliers de fabrication, les employés disposent d’équipements pour répondre à toutes les demandes. Un graveur laser et un pantographe pour la gravure, un tampographe, un carrousel de sérigraphie, un équipement pour la fonderie, un traceur pour imprimer les autocollants, ou encore une imprimante à sublimation pour faire fusionner directement l’impression dans le support textile ou céramique…

Aux côtés de Jean-Charles Théaud, gérant et responsable communication et marketing, trois employés historiques de la société : Magali Gautier, en charge de l’accueil client, de la vente, des achats et de la comptabilité ; Yvon Gautier, à la fonderie, la gravure et la tampographie ; et Even Clément pour les maquettes et le marquage textile…

Un savoir-faire à faire connaître…

« Nous bénéficions en interne d’un vrai savoir-faire, à nous de le faire savoir encore davantage ; c’est désormais notre challenge, annonce Jean-Charles Théaud, 49 ans, originaire de Molac, installé sur Pluméliau depuis 15 ans. Il ajoute :

Notre principal concurrent, c’est internet, mais sur une structure déjà bien installée, en restant toujours en prise avec les dernières tendances, je suis certain que le potentiel de développement est très important…

Dernièrement, Jean-Charles Théaud était à Lyon, sur le salon CTCO de l’objet textile promotionnel et dans les travées du C-Print, un salon dédié aux nouveaux équipements de production. En attendant d’investir dans de nouveaux matériels, la société devrait embaucher un cinquième salarié…

Les jeunes du collège de Castelnau-Montratier dans le Lot cherchent un coup de pouce

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Au collège Émile Vaysse de Castelnau-Montratier, dans le Lot, une quinzaine d’élèves de la 6e à la 3e encadrés par leur professeur-documentariste et d’autres collègues, réalisent un film d’animation en volume avec la technique du stop-motion.

Ce long travail minutieux qui demande beaucoup de patience se déroule en plusieurs étapes : créer l’histoire, concevoir les décors, fabriquer les marionnettes, les décors, tourner, enregistrer les voix et les ambiances sonores, faire le générique du film et communiquer sur leur projet. Ces élèves réalisent aussi une affiche de film et vont participer au concours de films d’animations « les petites lanternes magiques » à Toulouse (voir le site).

Investissements

Bien sûr, un tel projet nécessite de disposer de matériels spécifiques. Le collège a investi dans l’achat d’un appareil photographique de qualité ainsi que d’un pied de caméra et d’un microphone.

Cependant, un budget supplémentaire permettrait de finaliser sereinement ce film d’animation. C’est pourquoi il est lancé sur la plateforme « trousse à projets » un financement participatif.

Il reste 53 jours pour vous lancer dans cette aventure.

Pour participer, suivre ce lien

MARIE-FRANÇOISE PLAGÈS

Cette boucherie de Saint-Hilaire est reprise par un salarié

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Sylvie et Hubert Jeanne passent le flambeau à un autre couple : Martin et Stéphane Malbaux, déjà boucher dans le commerce.

Sylvie et Hubert Jeanne passent le flambeau à un autre couple : Martin et Stéphane Malbaux, déjà boucher dans le commerce.

Hubert et Sylvie Jeanne seront à la retraite le 24 février. Le couple tenait la boucherie du même nom, rue de Mortain, à Saint-Hilaire-du-Harcouët (Manche), depuis 2015.

« On repart sur nos terres natales, à Bayeux, où est installée notre famille », indique Hubert Jeanne.

Le couple était arrivé dans le Sud-Manche en 1998, à Barenton, où il travaillait pour la boucherie de la supérette Coccinelle. C’est ensuite dans le même commerce à Saint-Hilaire, puis à Sourdeval que les Jeanne ont exercé de 2001 à 2015, avant d’ouvrir leur propre affaire.

« Je garde de très bons souvenirs du Sud-Manche et de Saint-Hilaire. La clientèle est sympathique et ici, ils mangent de la viande… », sourit Hubert Jeanne, qui proposait diverses spécialités à sa clientèle : tripes lauréates de concours, pâtés de campagne, boudin blanc, rôtis festifs, etc.

Un relooking avant une réouverture 

Le centre-ville de Saint-Hilaire va conserver ses quatre boucheries puisque Stéphane Malbaux, déjà chef boucher dans la boutique, qui reprend l’affaire accompagné de son épouse Martine. Il gardera également les pratiques de son ancien patron en achetant les bêtes en campagne avant de les faire abattre.

Des travaux vont être menés à la boucherie pour trois semaines, début mars, avant une réouverture le 19 mars. 

« On va faire un petit relooking », précise Stéphane Malbaux.


Engin suspect en forêt à Vernon : les démineurs interviennent

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Les démineurs sont intervenus dimanche à Vernon. Il s'agissait d'une fausse alerte.

Les démineurs sont intervenus dimanche à Vernon. Il s’agissait d’une fausse alerte. (©Lille actu)

Dimanche 17 février 2019, vers 17 h 45, un promeneur découvre une voiture calcinée en lisière de la forêt de Bizy, à Vernon. Dans cette voiture, il décèle un objet dans le coffre qui pourrait ressembler à un obus ou une roquette. Il contacte aussitôt la police nationale qui se rend sur les lieux. Un périmètre de sécurité est alors installé et les véhicules de secours prêts à intervenir. La cellule préfectorale de déminage est alertée.

Vers 20 h 45, les démineurs de Rouen arrivent sur les lieux.

Fausse alerte

Très endommagé, l’objet n’a pu être identifié. Ne présentant pas de danger, le service de déminage l’a emporté pour analyses. Le périmètre de sécurité a ensuite été levé.

Le véhicule ayant été également entièrement calciné, il sera difficile pour les enquêteurs de déterminer sa marque et de remonter la piste jusqu’à son propriétaire. 

VIDEO. Les Sables-d'Olonne : un phoque fait bronzette à port Olona

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Paisible comme ce phoque aux Sables-d'Olonne qui fait bronzette sur un emplacement de jet ski à port Olona.

Paisible comme ce phoque aux Sables-d’Olonne qui fait bronzette sur un emplacement de jet ski à port Olona. (©Port Olona Facebook)

Le phoque gris (vu ce midi sur la page Facebook du Journal des Sables) semble se plaire du côté de port Olona aux Sables-d’Olonne.

Un phoque aperçu à port Bourgenay.

Vidéo à l’appui ci-dessous, le mammifère semble faire bronzette au soleil.

Petite pause ensoleillée avant de se jeter à l’eau.

Et qui se fait dorer la pilule au soleil

Publiée par Port Olona sur Mercredi 20 février 2019

 

Echonova : Disiz La Peste en concert vendredi 22 février à Vannes

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Le rappeur français Disiz La Peste sera l'une des têtes d'affiches du festival MusiK à Pile, à Saint-Denis-de-Pile (Gironde).

Le rappeur français Disiz La Peste revient vendredi 22 février à l’Echonova pour chanter son nouvel album. (©Real_Jayci – Wikimedia Commons)

Programme chargé à l’Echonova, en cette fin de semaine. Le salle de concerts du pays de Vannes reçoit ce jeudi soir, 21 février, la Nuit de l’Alligator, avec des groupes rock’n blues.

Le rappeur Disiz La Peste sera sur scène, vendredi 22 février pour chanter son dernier album Disizilla, 18 ans après son mythique titre J’Pète les plombs.

Le cœur de l’Amérique pour les Nuits de l’Alligator

Ce jeudi soir, 21 février, vous avez rendez-vous avec l’Amérique, celle qui va de New York aux collines du Mississippi.

Deux groupes se partagent l’affiche de la Nuit de l’Alligator : Cedric Burnside et le groupe Handsome Jack.

Jeudi 21 février, Les Nuits de l’Alligator : Cedric Brunside + Handsome Jack. Tarifs : 12-25 ans 5 €, abonné 9 €, prévente 12 €, sur place 14 €.

LIRE AUSSIEchonova : 5 concerts coups de cœur du directeur Frédéric Carré

Le retour d’une figure du rap français

Ça fait 20 ans qu’il débite son flow. Disiz La Peste revient avec son 12e album intitulé Disizilla, plus profond, entre difficultés de la vie et sensibilité l’artiste a accouché de 16 titres incisifs.

Le rappeur français qui s’est fait connaître avec son titre J’pète les plombs, a opéré sa mue et s’est transforme en monstre du hip-hop aux sonorités électro. Attention, ça va trancher !

Vendredi 22 février, Disiz La Peste à 20h30. Tarifs : abonné 22€, prévente 25€, sur place 27€.

Au nord de Nantes, une cagnotte ouverte pour financer une comédie musicale

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Une cagnotte participative est en cours sur Ulule pour aider au financement du projet.

Une cagnotte participative est en cours sur Ulule pour aider au financement du projet de comédie musicale baptisée « Isana ».

En décembre 2018, L’Eclaireur se faisait l’écho du projet de comédie musicale de Marc Caballero, auteur-compositeur et interprète de Blain (Loire-Atlantique), qui recherchait des comédiens sachant chanter. Cette comédie musicale, intitulée Isana est programmée pour fin 2019 (le 9 novembre à Bouvron et le 23 novembre à Fay-de-Bretagne).

Aujourd’hui, le casting est achevé et les enregistrements ont commencé, avec la sortie d’un album prévue pour cet été. En attendant, Marc Caballero a lancé une cagnotte sur la plateforme Ulule :

Cette cagnotte servira à financer la réalisation du CD ainsi que la production du spectacle. Il reste quelques jours pour soutenir le projet. J’invite de futurs donateurs à participer. Même une petite somme. Tout soutien financier est la bienvenue pour cette comédie musicale inédite sur la région.

Les personnes ayant de financer le projet peuvent se rendre sur : fr.ulule.com/isana-comedie-musicale.

LIRE AUSSI : Emmanuelle Béart en tournage à Pornic

Marine Le Pen annoncée à Richemont, près d’Aumale, le 10 mars 2019

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Marie Le Pen devrait être présente à Richemont, près d'Aumale (Seine-Maritime) le 10 mars 2019.

Marie Le Pen devrait être présente à Richemont, près d’Aumale (Seine-Maritime) le 10 mars 2019. (©L’Eclaireur de Gamaches)

La venue de Marine Le Pen, présidente du Rassemblement national, est annoncée le 10 mars 2019 à Richemont, entre Blangy-sur-Bresle et Aumale (Seine-Maritime), à l’occasion d’un meeting dans le cadre des élections européennes. Joseph Alix Thiébaut, le maire de la commune, confirme : 

Il y a deux semaines, les responsables du Rassemblement national ont contacté la mairie pour réserver la salle des fêtes. Ils souhaitent organiser un meeting du Parti dans le cadre de ce scrutin. 

« On ne pensait pas que Marine le Pen viendrait »

Mercredi 20 février, Joseph Alix-Thiébault a eu la confirmation de cette réservation.

Et aujourd’hui (jeudi 21 février), on m’a affirmé que Marine Le Pen serait présente à cette réunion. Au départ, on ne pensait pas qu’elle viendrait.

Mais pourquoi avoir choisi justement Richemont, de l’ex-canton d’Aumale ?

Le Rassemblement national cherchait une salle des fêtes et la nôtre était disponible ce jour-là. C’est un membre de son parti, originaire d’Eu, qui lui a soufflé l’idée.

Marine Le Pen était déjà venue au Tréport (Seine-Maritime), le 4 avril 2012 dans le cadre de l’élection présidentielle. Plus récemment, le 8 décembre 2015, elle s’était rendue à Fressenneville (Somme) pour apporter son soutien au candidat pour l’élection régionale.

Pour rappel, lors de l’élection présidentielle 2017, Marine Le Pen était arrivée en tête des deux tours de scrutin à Richemont. Au 1er tour, elle avait recueilli 47,62% (130 voix sur 281 votants). Au second tour, elle avait même largement battu Emmanuel Macron, rassemblant 66,53 % des électeurs, soit 161 voix contre 81 à Emmanuel Macron. 

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