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La comédienne Fabienne Carat, connue pour son rôle dans Plus belle la vie, sera sur la scène du Spotlight de Lille (Nord) mercredi 20 et jeudi 21 février 2019. (©Dominique Jacovides/Bestimage)

L’amour est dans le prêt ! Voilà le titre du One woman show de Fabienne Carat. Celle qui est connue pour son rôle de Samia dans la série Plus Belle la vie sera sur la scène du Spotlight à Lille (Nord) les mercredi 20 et jeudi 21 février 2019.

Seule en scène, la comédienne livre l’expérience d’une femme de 35 ans. Pas vraiment un bilan, plutôt des anecdotes ou un parcours de vie et de l’amour que l’on a envie de partager. Oui mais avec le banquier, les travaux, le notaire, les contrats … que du bonheur pour réussir la vie d’une princesse d’aujourd’hui !

Une rencontre en toute simplicité et sans tabou, des vérités parfois grinçantes mais surtout de pétillantes révélations pleines d’astuces pour les couples et les célibataires ».

Informations et réservations en cliquant sur ce lien.

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‪Pour fêter la Saint-Valentin, pour faire une demande en mariage ou pour trouver l’amour et bien c’est simple je vous donne RDV à ❤️ L I L L E ❤️ les 20 et 21 février au @spotlightlille ☝️#linkinbio ⬆️ #liendansmabio #onewomanshow #fabiennecarat #lamourestdanslepret ? #lille‬ #saintvalentin #sortiralille #spectacle #spotlight 💭💭💭💭💭💭💭💭 🙏 @didierparsy pour la photo, tu nous as quitté beaucoup trop tôt #hommage #memories #reposeenpaix 😇❤️😢

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Lors de l’audience, l’avocat des deux victimes présumées s’est lui aussi opposé à la remise en liberté du quadragénaire (©PressPeper)

Condamné par les assises du Calvados, le 31 janvier dernier, pour viol sur mineures, un habitant de Villers-Bocage a été remis en liberté, mardi 19 février. Il a été placé sous contrôle judiciaire en attendant son procès en appel, par la chambre de l’instruction de la cour d’appel de Caen.

Après deux jours de procès, Sébastien Cotelle avait écopé de 15 ans de réclusion criminelle pour avoir violé et agressé sexuellement ses deux belles filles, entre 2006 et 2014, à Villers-Bocage et Coulvain. Les victimes présumées étaient alors âgées de 7 à 15 ans. L’avocate générale, qui s’est opposée à sa demande de remise en liberté a insisté :

C’est une peine rarement prononcée

Plusieurs fois par semaine

En décembre 2014, la plus âgée des deux sœurs s’était réfugiée chez une amie, lui confiant avoir été violée par le compagnon de sa mère. Devant les enquêteurs, l’adolescente avait expliqué avoir été abusée par son beau-père plusieurs fois par semaines, pendant près de six ans, alors qu’elle avait entre 9 et 15 ans.

Lors de son procès, fin janvier, ce mécanicien de 40 ans, qui était jusque-là inconnu de la justice, a contesté les faits. Il avait seulement admis « ne pas avoir su résister aux avances » de l’adolescente alors qu’elle avait 15 ans, avant de reconnaître avoir eu des relations sexuelles consenties avec elle.

Un homme parfaitement inséré

Du fait de son appel « cet homme est aujourd’hui présumé innocent. Il n’a jamais été condamné et son incarcération n’est pas justifiée », a plaidé Romain Léandri, son avocat. Placé sous contrôle judiciaire après sa mise en examen, le quadragénaire a respecté, pendant quatre ans, les obligations qui lui ont été imposées.

Employé depuis 2006 dans une société spécialisée dans l’assainissement, l’homme est parfaitement inséré. Son conseil a insisté :

Il n’y a aucun risque qu’il ne se présente pas à son procès

Suivi par un psychologue jusqu’en mars 2017, l’intéressé est présenté comme un homme qui doit composer avec une immaturité affective, une absence d’empathie mais aussi de remise en cause.

Lors de l’audience, l’avocat des deux victimes présumées s’est lui aussi opposé à la remise en liberté du quadragénaire, soulignant le « climat familial très particulier » qui règne au sein du couple. Sa compagne est soupçonnée d’avoir violenté à de nombreuses reprises ses propres filles, qui ont été placées en urgence.

Christophe Dominici n’a ni confirmé ni infirmé être l’auteur du message d’insultes à l’égard de Guy Novès. (©Icon Sport)

Sur les réseaux sociaux, son nom est régulièrement revenu. Christophe Dominici, ancien ailier du XV de France (67 sélections) et du Stade Français, pourrait avoir eu un rôle lorsqu’un message d’insultes a été laissé sur le répondeur téléphonique de l’ex-sélectionneur des Bleus, Guy Novès.

Interrogé par La Dépêche du Midi sur cette affaire rendue publique lundi 18 février 2019, Christophe Dominici se serait montré très évasif. Il n’aurait ni confirmé ni infirmé être l’auteur de ce coup de fil. Avant de souligner :

Novès dit ce qu’il veut, ça ne m’intéresse pas. J’observe simplement que ces derniers temps, il se plaint beaucoup.

Peu loquace, il n’aurait guère disserté sur le sujet, terminant la conversation en précisant « sortir d’un enterrement » et avoir « d’autres préoccupations ».

Vincent Moscato : « C’est sûr, ce n’était pas moi »

Lundi, Vincent Moscato, animateur radio sur RMC et ancien talonneur international du Stade Français, a lui aussi été questionné sur son éventuelle implication. « Non, c’est sûr que ce n’était pas moi. Je le jure sur la tête de mes filles. Ce n’est pas moi qui parle, ce n’est pas mon téléphone », a-t-il répondu. Gêné, il s’était ensuite embrouillé dans ses explications, ne souhaitant pas donner un indice sur l’auteur des faits. S’il assure ne pas savoir qui c’est, sa réaction laissait penser le contraire.

Dans Midi Olympique, Guy Novès avait dévoilé le contenu d’un message laissé sur son répondeur lors d’une soirée arrosée en juin 2018. « Novès, t’es un enculé… T’es un escroc, une merde. À chaque fois qu’on venait à Toulouse, on te mettait la fessée… T’es une pipe ». L’auteur de cet appel, Guy Novès assure connaître son identité. Il n’a pas souhaité jeter son nom en pâture, mais a rétorqué : « Quand je le croiserai, on s’expliquera… »

Le Musée d’archéologie nationale de Saint-Germain-en-Laye (Yvelines) a connu une très forte augmentation de la fréquentation scolaire pour atteindre le chiffre record de 1 250 accueillis. (©Philippe Roudeillat / 78actu)

Il est à lui seul l’emblème de la commune. Mais, derrière ses larges murs de pierre, le château de Saint-Germain-en-Laye (Yvelines) abrite une pépite dont l’éclat ne cesse d’attirer des visiteurs : le Musée d’archéologie nationale (Man). En effet, pour la sixième année consécutive, le site en a accueilli plus de 100 000.

100 029 visiteurs en 2018

En 2018, ils auront été très exactement 100 029 visiteurs à franchir ses portes. Une fréquentation, certes légèrement en recul par rapport aux chiffres de 102 503 personnes enregistrées l’année précédente, mais qui reste néanmoins très satisfaisant au regard de l’offre. Ainsi, rappelons qu’au cours de cette année 2018 des travaux ont entraîné la fermeture de plusieurs espaces importants comme la chapelle mais aussi de certaines salles des collections.

Une seule exposition et des travaux

Pour le Man, ces chiffres confirment la bonne tenue de la fréquentation sachant également « qu’une seule exposition a été proposée cette année et alors que le monument fait l’objet d’une importante campagne de restauration effectuée sous la maîtrise d’œuvre de Régis Martin, architecte en chef des monuments historiques et sous la maîtrise d’ouvrage de l’Opérateur du patrimoine et des projets immobiliers de la culture (OPPIC). Cette dernière se poursuit en 2019 avec la restauration de la façade Est, qui marquera une nouvelle étape de la renaissance d’un monument majeur du patrimoine national. »

Produite par le Musée d’Archéologie nationale, de décembre 2017 à avril 2018, l’exposition en question, dénommée Ludovic Napoléon Lepic, peintre et archéologue sous Napoléon III, a séduit près de 8 200 visiteurs.

Un chiffre record pour les groupes scolaires

En rentrant dans le détail des chiffres, d’autres éléments sont facteurs de satisfaction pour le Musée d’archéologie nationale. C’est le cas notamment de la fréquentation des plus jeunes dans le cadre visites scolaires. Ainsi, le site a accueilli 1 250 groupes en 2018, contre 844, l’année précédente. Un chiffre record et une augmentation de 48,1 % qui serait le résultat « du développement d’une politique ambitieuse en matière d’éducation artistique et culturelle ».

À l’heure du bilan, le Man se félicite également de sa fréquentation dématérialisée.

Le musée a accru sa visibilité grâce au site Internet qui comptabilise 179 716 visites en 2018 mais aussi par l’évolution de ses réseaux sociaux comme Facebook, Twitter et surtout Instagram. »

Les trois réseaux sociaux ont enregistré des audiences en forte augmentation entre 2017 et 2018. De 7 212 à 8 570 abonnés pour Facebook, de 9 422 à 11 500 « followers » pour Twitter et enfin de 2 430 à 4 500 abonnés pour Instagram.

Toute l’actualité du Man sur le site Internet : www.musee-archeologienationale.fr et sur les réseaux sociaux : www.facebook.fr/musee.archeologienationale, www.instagram.com/archeonationale, www.twitter.fr/Archeonationale

La nouvelle aire de jeux dans le Domaine national de Saint-Germain-en-Laye (Yvelines) était attendue par les enfants et leurs parents depuis de très nombreuses années. (©Philippe Roudeillat / 78actu)

Avec 1,3 million de visiteurs, le Domaine national n’est pas en reste

Si l’année 2018 semble très satisfaisante pour le Musée d’archéologie nationale, elle le serait également pour le Domaine national. Le parc de 40 hectares, classé au titre des monuments historiques depuis 1964, aurait connu une fréquentation accrue. Celle-ci aurait ainsi atteint 1,3 million de visiteurs. Plusieurs choses peuvent expliquer ce très bon chiffre.

La nouvelle aire de jeux

Le Domaine a tout d’abord connu des aménagements au cours de cette année 2018. Il y a eu la petite terrasse, mais aussi la mise en place de la nouvelle aire de jeux attendue par les enfants et leurs parents depuis de très nombreuses années. Ouverte le 23 août grâce à des fonds débloqués par la Ville et le Département, elle propose trois zones différentes en fonction des âges et peut accueillir une cinquantaine d’enfants.

Expositions et l’opéra en plein air

Le déroulement d’importants projets culturels a également fortement participé à l’attractivité du Domaine national : l’exposition Jardin de mémoires, en partenariat avec l’association Arts Convergences, mais aussi l’exposition Debussy à la plage dans le cadre du centenaire de la mort du compositeur en partenariat avec la Haute école de musique de Genève. Signalons enfin l’accueil, pour la première fois en juillet 2018 des deux représentations exceptionnelles de Carmen de Bizet dans le cadre de l’opération Opéra en plein air. Une opération reconduite les 5 et 6 juillet avec, cette fois-ci, deux représentations de Tosca de Giacomo Puccini. Les billets peuvent d’ores et déjà être réservés sur le site Internet de la Fnac.

Le rendez-vous est donné au parc François-Mitterrand de Dieppe ce mardi 19 février à 18 h 30.

Le rendez-vous est donné autour de la Porte de la Tolérance du parc François-Mitterrand de Dieppe, ce mardi 19 février à 18 h 30. (©Ville de Dieppe)

La Ville de Dieppe (Seine-Maritime) organise ce mardi 19 février 2019 un rassemblement contre l’antisémitisme.

Dans un communiqué, le maire Nicolas Langlois souligne que « les actes antisémites ne sont et ne seront jamais tolérables. Jamais nous n’accepterons que soit stigmatisé quiconque du fait de son origine ou de sa religion.»

Il poursuit :

Nous portons dans le débat public des orientations différentes, nous avons en commun la République. Et jamais nous n’accepterons la banalisation de la haine. C’est pourquoi nous appelons l’ensemble des Dieppois à se réunir pour dire ensemble : non à l’antisémitisme, non à toutes les formes de racisme. Ce n’est pas la France. »

« Fidèles aux valeurs de la République, et à notre engagement, héritiers de la mémoire des résistants Dieppois, Marie-Thérèse Fanstein, Charles Pieters, Pierre Riffard, Jacques Brunet, nous, élus de Dieppe, conseillers municipaux, vous appelons à nous rassembler ce soir à 18 h 30, autour de la Porte de la Tolérance du parc François-Mitterrand » invite Nicolas Langlois

Dix minutes de silence seront observées. C’est le temps de recueillement que la Ville observz chaque année lors de la veillée de la Journée nationale des victimes de la Déportation.

La Bretagne est la région de France à laquelle ses habitants sont le plus attachés. (©Christophe Garcia)

La France jugée par les habitants de ses territoires : c’est l’idée du vaste sondage réalisé par le cabinet d’étude Erable auprès de plus de 10 000 personnes réparties sur l’ensemble de l’hexagone.

Une étude dont il ressort que le Bretagne est tout en haut du palmarès des régions où il fait bon vivre.

Les Bretons sont en effet 75% à le penser, alors que la moyenne française est de 66%. Les régions Hauts de France et Ille-de-France étant les plus mal notées par leurs habitants.

Lire aussi : dans quelle région de France est-on le plus heureux ?

Beaux paysages, fraternité et sécurité

Mieux : les bretons sont les seuls Français à être plus attachés à leur région qu’à la France ! Et près de la moitié de ses habitants souhaite que ses enfants fassent leur vie dans la région (+6% par rapport à la moyenne nationale).

Pourquoi les Bretons plébiscitent-ils la Bretagne ? Parce qu’ils s’y sentent en sécurité (76%), sur un territoire plutôt épargné par la pollution (69%), offrant un «bonheur des paysages » (61%).

Lire aussi : A Saint-Malo, le Sillon élu plus belle plage de France

Il ressort également de cette étude que les Bretons, dans des proportions bien plus fortes qu’au niveau national, considèrent que la Bretagne est un territoire d’entraide et de fraternité (42%). On y fait confiance aux services publics de proximité (68%), à l’école du secteur (65%) et à l’hôpital le plus proche (74%).

Les points faibles

Mais le sondage réalisé par Erable montre aussi les fragilités de la région. Le gros point faible : les transports. Seulement 37% des Bretons (contre 44% au niveau national), considèrent que la Bretagne est bien desservie par les transports en commun. Ils sont aussi 46% a affirmer avoir des difficultés à boucler leurs fins de mois (48% au niveau national).

Enfin, les habitants de la péninsule sont plus sensibles qu’ailleurs à l’écart entre les hauts et les bas salaires et aux inégalités sociales, deux données qui cristallisent leur mécontentement à 40 et 33% (+4% par rapport à la moyenne nationale).

Reste que malgré tout, la Bretagne est la région de France à laquelle les habitants sont le plus attachés, et de loin ! (77%).

A l’inverse, s’épanouir dans une autre région n’est envisageable que pour 26% des Bretons. Bref, la Bretagne, c’est j’y suis j’y reste !

Ces bancs installés sur la place Simone-Veil (ex-place Thiers) provoque de nouveau un vif débat. (©Nicolas Zaugra/Lorraine Actu)

Les bancs installés sur la place Simone-Veil devant la gare SNCF et la tour Thiers sont-ils des dispositifs anti-SDF ? Oui, pense la célèbre fondation Abbé Pierre.

La cérémonie des « Pics d’or » organisée par l’association, qui s’est tenue mercredi 13 février, a récompensé, au second degré, les pires dispositifs visant à chasser les sans-abris. Grilles, picots, rochers, poteaux, bancs et sièges inconfortables, grillages… chaque ville, de Toulouse à Biarritz, en passant par Paris et Besançon, a été épinglée pour ce mobilier urbain jugé discriminatoire.

Le délégué général de la Fondation Abbé-Pierre, Christophe Robert, s’explique :

L’objectif de ces dispositifs – mis en place par les municipalités, les architectes, les urbanistes, etc. – est d’éloigner les SDF des centres-villes, de les rendre invisibles ou de les criminaliser, de manière plus ou moins insidieuse.

Le président de la métropole de Nancy défend des œuvres d’art

« Je ressens beaucoup de surprise et de colère à la lecture du palmarès des « Pics d’or » de la Fondation Abbé-Pierre qui dénonce les dispositifs, consistant à éloigner les sans-abris des centres villes. Les bancs de la place Simone-Veil, en face de la gare de Nancy, y sont pointés du doigt », s’insurge André Rossinot, président du Grand Nancy. La métropole a été chargée du réaménagement achevé en 2016 de l’ex-place Thiers.

Dans le projet de requalification et de valorisation de l’espace gare de Nancy, signé par l’architecte urbaniste Jean-Marie Duthilleul, il n’a jamais été question, ni de près ni de loin, de mettre en place un tel dispositif.

« Notre démarche a été uniquement artistique. Constitué de tubes en inox, ce mobilier urbain a été, en effet, signé par l’artiste Sébastien Wierinck dans le cadre du 1 % artistique, dispositif créé par André Malraux ( 1% du montant des travaux publics sont réservés à la création d’œuvres d’art) », assure M. Rossinot.

Même constat pour le maire de Nancy Laurent Hénart qui dénonce l’absence de contact avec la Fondation Abbé-Pierre.

D’autres élus plus critiques

Des élus membres de l’opposition à la ville de Nancy ou à la métropole font toutefois entendre une voix différente et ne se privent pas de critiquer ces bancs pointés du doigt par la Fondation Abbé-Pierre.

Pour Antoine Le Solleuz, conseiller municipal d’opposition, « Nancy, avec sa fameuse place de la gare et ses couleuvres, n’a pas remporté le Pic d’Or qui récompense les villes qui mettent en place les pires dispositifs anti-SDF ! Mais nous étions tout de même dans la short-list (top 5) des pires dispositifs. Et rien que cela, ça fout la honte », fustige-t-il.

Ouf! Nancy avec sa fameuse place de la gare et ses « couleuvres » n’a pas remporté le Pic d’Or qui récompense les villes…

Publiée par Antoine Le Solleuz sur Vendredi 15 février 2019

Pour Hervé Feron, maire de Tomblaine et opposant à la métropole, ces bancs « sont laids et pour le coup il y a eu recherche d’harmonie pour s’intégrer dans la laideur ambiante de la place Veil ».

Je pense que ces bancs ont coûté une fortune aux contribuables et qu’ils sont des repoussoirs à toute velléité de convivialité pour des bancs qui me font plutôt penser à des invertébrés à corps mou, parasites sous forme larvaire, froids et qui semblent ramper, à la recherche d’un ailleurs meilleur.

Dans la série, on se fait tous… posséder…Question à la majorité de la Métropole : êtes-vous vraiment fiers de ce…

Publiée par Hervé Feron sur Mardi 19 février 2019

Romain Guillard a signé son renouvellement de contrat avec la JS Cherbourg, sous le regard de Marcel Clairet. (©David CAPELLE)

Bonne nouvelle à la JS Cherbourg. Le club de handball a annoncé ce mercredi 20 février 2019 le renouvellement de contrat de Romain Guillard.

Le demi-centre de 33 ans, arrivé en juin 2017 à Cherbourg, avait un contrat de deux ans qui prenait fin en juin prochain. En accord avec ses dirigeant, il a décidé de le prolonger d’un an supplémentaire, soit jusqu’à juin 2020.

Romain GUILLARD prolonge avec les Mauves ! https://t.co/KyUaKxdrua via @JSCherbourg

— JS Cherbourg Manche (@JSCherbourg) February 20, 2019

« Une ville où je me sens bien »

Romain Guillard a expliqué son choix :

Après un temps de réflexion, j’ai décidé de poursuivre l’aventure dans un club et au sein d’une ville où je me sens bien, ainsi que ma famille ; j’ai envie de participer à ce projet de la JS Cherbourg

Romain GUILLARD prolonge avec les Mauves !

Romain Guillard a un message pour vous !#Prolongation #Cherbourg #TousAvecLesMauves

Publiée par JS Cherbourg Manche HB sur Mercredi 20 février 2019

Marcel Clairet, conseiller du président, s’est dit ravi de sa signature pour un an de plus :

C’est une joie pour nous. Romain Guillard est le taulier de l’équipe et nous pouvons nous appuyer sur lui pour consolider nos fondations, il va aider à faire progresser l’équipe et le club dans son ensemble.

Après deux défaites en déplacement à Créteil et Dijon, la JS Cherbourg affronte ce vendredi Sélestat, pour le compte de la 17^e journée de Proligue.

Seydou Cissé, alias SenSey’ le rappeur au bandeau de Melun sort sa mixtape le 22 février (©©Jat Kiss 1510 )

MCS pour Moi, c’est SenSey’. Voici le nom de la mixtape de SenSey‘, alias Seydou Cissé, plus connu sur les réseaux sociaux sous le pseudonyme du rappeur au bandeau de Melun. Produite par le label made in Melun Jat Kiss 1510, la compilation du rappeur de l’Almont, composée de dix titres et de deux bonus, sera en vente vendredi 22 février.

Revanche

« Du rap, de l’afro, du zook, je mélange de nombreux styles qui sont la base de mon univers musical », confie Seydou Cissé. Fan de manga, le jeune homme a construit son personnage autour de Naruto, un personnage phare de la bande dessinée japonaise. S’il tient son amour de la musique de son grand frère, il a gardé le nom tiré du japonais sensei, littéralement un maître qui enseigne.

Et avant de devenir maître, le jeune homme semble avoir écouté les enseignements, car désormais, tout le monde connaît SenSey’. « MCS c’est un peu une revanche car j’avais déjà sorti une compilation du même nom en 2015 », sourit-il. Découvert grâce à ses cartons sur Youtube, SenSey n’en finit plus d’atteindre les sommets sur la toile.

Son succès, Sans elle, culmine désormais à plus de 16 millions de vues sur la plateforme. Sur la mixtape MCS, les fans pourront retrouver Avec moi (déjà 5 millions de vues), J’écris ou encore L’impossible.

« J’aimerais remplir l’Escale »

Particularité, la plupart de ses clips sont tournés à Melun. « On peut reconnaître la place des Trois Horloges, ou le centre-ville de Melun et même mon quartier de l’Almont », détaille SenSey’. « J’ai beaucoup travaillé, passé des heures en studio et maintenant place à la scène », souligne l’artiste melunais. J’ai déjà des dates un peu partout mais c’est vrai que je ne suis pas encore programmé à Melun. J’aimerais bien remplir l’Escale. »

En parallèle de la sortie de sa mixtape, SenSey’ travaille aussi sur la sortie de son premier album. « Plus de la moitié des titres sont déjà prêts, prévient Seydou. Mais chaque chose en son temps, je vais déjà défendre ma mixtape sur scène. Il ne faut pas brûler les étapes. » MCS sera disponible dès le 22 février sur les plateformes de téléchargement Deezer, Spotify ou encore iTune.

Hibou moyen-duc (©Pascal Engler-FINA)

« Amener dans le Haut-Jura un événement d’ampleur, afin de valoriser le territoire et le promouvoir », tel sont les objectifs des photographes Christophe Masson, Claude Le Pennec, Christophe Mollet, Clovis et Marceau Duraffourg, instigateurs du premier Festival Inter’Nature du Haut-Jura qui se déroulera les 12, 13 et 14 avril 2019 à Saint-Claude.

Ces amoureux de la nature qui proposent régulièrement des photos magiques et magnifiques ont décidé d’aller plus loin dans leur démarche.

Soutien de l’Europe

La première volonté des organisateurs est de faire vivre un territoire et promouvoir une nature de caractère aux milieux diversifiés et fragiles, exposés aux aléas météorologiques et parfois humains.

Mais encore par l’image, appréhender d’autres territoires ou continents, leur écosystème où la vie règne en abondance comme en sursis, s’immerger dans les profondeurs du « Grand bleu ».

Naturalistes, botanistes

Ainsi, l’ensemble de cette manifestation, dont l’objectif est d’en faire un rendez-vous annuel, s’appuie sur une ossature scientifique diversifiée (spécialistes, naturalistes, botanistes) et pédagogique.

Ils sont ainsi accompagnés par le Parc Naturel Régional du Haut-Jura, par les deux Régions Bourgogne Franche-Comté et Auvergne Rhône-Alpes, ainsi que de l’Europe à travers le programme Leader-Feader visant à promouvoir l’économie des zones rurales, en association avec la Municipalité.

D’autres partenaires se sont associés à la démarche : le Lions Club, l’Office du tourisme, la Maison des associations, la Fraternelle, le CPIE du Haut-Jura ainsi que l’association des Arts Plastiques.

L’Union des commerçants Indépendants s’est également impliquée dans la manifestation, à travers la présentation de clichés dans les vitrines, ainsi qu’un concours, selon des modalités qui demandent à être affinées.

Ateliers, conseils, découverte

Afin de toucher un public le plus large possible, pour l’inciter à « regarder plus loin pour une nature protégée et respectée », différents pôles d’activités seront mis en place durant ces trois journées à travers des ateliers découverte d’initiation à la photographie, des ateliers artistiques organisés par les Arts plastiques.

Des professionnels donneront des conseils et présenteront du matériel photographique. Des circuits pédestres seront proposés pour partir à la découverte du territoire.

Le SICTOM sera également partie prenante à travers des ateliers pour sensibiliser le grand public au geste quotidien du tri. Et puis, des chalets abriteront des dégustations et des ventes de produits régionaux.

Ce premier Festival Inter’Nature aura pour invité d’honneur le photographe canadien Jean-Daniel Gagné.

Cet événement se déroulera vendredi 12 avril de 13 h 30 à 19 h ainsi que samedi 13 avril et dimanche 14 avril de 9 h à 19 h. Au programme, une exposition de photos sera proposée au Parc du Truchet.

La place du 9 avril 1944 accueillera les chalets pour la vente de produits locaux ainsi qu’une exposition de photos. La grande salle du Palais des sports sera transformée en grande salle d’exposition.

Tandis que les salles de la Fraternelle accueilleront les projections de films, les diaporamas et les conférences.

D’ores et déjà, deux films seront proposés : « La vallée des loups » de Jean-Michel Bertrand (samedi à 20 h) et « Sur le territoire du lynx » de Carmen Munoz Pastor et Vincent Primaut, samedi à 14 h 45 et dimanche à 15 h 15.

→Les exposants
Seront présents : Florent Adamo, Jean-Marie Séveno, Olivier et Aurélie Ferreux, Alain Benoit-à-la Guillaume, Nicolas Devillers, Philippe Klein, Stéphanie Haute, Robert Bousrez, Christophe Mollet, Clovis Duraffourg, Claude Le Pennec, Marceau Duraffourg, Séverin Rochet, Jean-Robert Comte, Denis Girard, Bernard Pons, Pascal Engler, Alain Prêtre, Jean Guillet, Chantal Jomard, Patrick Durand, Alexis Leclerc, Patrick Delieutraz, Ema Olszweski, M.-J. Moënne-Loccoz (sculpture et modelage), ainsi qu’Hugo Puveland (coup de pouce jeune du FINA).

→ Les conférences
Le mystérieux ours esprit du Canada et son petit, Jean-Daniel Gagné : samedi 16 h, dimanche 15 h.
La Chasse, Alain Prêtre : samedi 1er h 45 et dimanche 11 h. L’almanach savoyard version nature, Denis Girard : samedi 13 h 45 et dimanche 10 h.
Norvège sauvage, Patrick Delieutraz : samedi 10 h, dimanche 11 h.
Faune de la vallée de la Vénoge, Pascal Engler : samedi et dimanche 11 h.
Faune du Mercantour, Florent Adamo : samedi 16 h 45, dimanche 14 h.
Le lagopède alpin, J.-F. Desmet : samedi et dimanche 14 h.
La gélinotte, Jean Guillet : samedi 17 h 45, dimanche 16 h.
Le puma en Patagonie, Jean-Marie Séveno : samedi 17 h, dimanche 17 h 15.
Une vie de libellules, Daniel Magnin : samedi 10 h 15, dimanche 16 h 15.
Les guêpiers d’Europe, Laurent Chagnard : samedi 18 h, dimanche 13 h 30.

Julien Buchet, 39 ans, sa compagne Barbara, 42 ans, et la petite Clémentine dans les anciens locaux de l’Atelier de créations de bijoux, au 6 rue des Trois-Rois. On les retrouve devant des figurines de jeux de rôle.

Les adeptes de la série Game of Thrones seront servis. Un nouveau commerce de jeux de rôle et de figurines ouvrira début avril à Avranches (Manche) rue des Trois-Rois.

« Nous hésitons encore à créer la première vitrine avec des figurines de la série culte », expliquent Julien Buchet et sa compagne Barbara. L’ouverture de la boutique en avril devrait coïncider avec la sortie de la dernière saison de la série à succès de HBO.

Ils ont quitté Lille pour le Sud-Manche

Ils ont décidé de quitter Lille pour s’installer dans le sud de la Manche. Lui travaillait comme informaticien à EDF et elle comme chargée de communication pour une collectivité. La grande métropole lilloise attirait moins le couple. Les longs trajets professionnels ont motivé ce départ. L’arrivée de la petite Clémentine a été l’élément déclencheur de cette nouvelle vie.

« On voulait lui offrir un autre cadre de vie et travailler pour soi. Et puis je n’étais pas fan du Nord. »

Pourquoi venir ici ?

« J’ai travaillé pendant quatre ans à Flamanville. Nous sommes venus l’été dernier ici et nous sommes tombés sur le charme. Le cadre de vie est top », explique Julien Buchet. Pour marquer l’attachement à la ville, ils ont décidé d’appeler la boutique Legedia, l’ancien nom gaulois de la ville d’Avranches.

Julien est passionné depuis 30 ans

La passion des jeux de rôle remonte à près de trente ans pour Julien. « J’avais dix ans et je suis un peu tombé dedans. » Il a donné le virus des jeux de rôle à Barbara. Ils sont aujourd’hui tous les deux passionnés par les jeux de rôle et les différentes figurines. Le magasin Ô Bon joueur propose déjà des jeux à Avranches. « Nous voulons compléter ce qu’il se fait déjà », poursuit Julien.

Ils vendront des jeux de rôle et des goodies très spécialisés. Des ateliers permettant de personnaliser des figurines seront proposés régulièrement.

« Les personnes doivent assembler eux-mêmes les figurines. » Il y a un travail de collage. » Le couple a réalisé une étude de marché. « Les magasins les plus proches se trouvent à Rennes et Caen. « Je sais qu’il y a une demande ici. Le marché du jeu est très dynamique. » La rue des Trois rois devrait retrouver un peu de dynamisme après la fermeture de la librairie… La boutique devrait ouvrir le dimanche de quoi redonner un peu de vie au quartier.

Le chant du loup

Un film d’Antonin Baudry, avec Mathieu Kassovitz et Omar Sy. (©Julien Panié.)

Un jeune homme a le don rare de reconnaître chaque son qu’il entend. À bord d’un sous-marin nucléaire français, tout repose sur lui, l’oreille d’or. Réputé infaillible, il commet pourtant une erreur qui met l’équipage en danger de mort. Il veut retrouver la confiance de ses camarades, mais sa quête les entraîne dans une situation encore plus dramatique. Dans le monde de la dissuasion nucléaire et de la désinformation, ils se retrouvent tous pris au piège d’un engrenage incontrôlable. Un film d’Antonin Baudry.

VIDÉO. La bande-annonce du Chant du loup :

Où voir ce film en Seine-Maritime ?
Au Havre : Gaumont (les horaires, ici).
À Rouen : Omnia, (les horaires, ici), Gaumont Rouen Grand-Quevilly (les horaires, ici), Kinepolis (les horaires, ici), Pathé Docks 76 (les horaires, ici).

Grâce à Dieu

« Grâce à Dieu » de François Ozon, ou le drame de la pédophilie au sein de l’Église. (©Mars films.)

Alexandre vit à Lyon avec sa femme et ses enfants. Un jour, il découvre par hasard que le prêtre qui a abusé de lui aux scouts officie toujours auprès d’enfants. Il se lance alors dans un combat, très vite rejoint par François et Emmanuel, également victimes du prêtre, pour « libérer leur parole » sur ce qu’ils ont subi. Mais les répercussions et conséquences de ces aveux ne laisseront personne indemne. François Ozon a décroché le prix du jury à la Berlinale 2019, avec ce film à l’actualité brûlante.

VIDÉO. La bande-annonce de Grâce à Dieu :

Où voir ce film en Seine-Maritime ?
Au Havre : Au Sirius (les horaires, ici)
À Rouen : Omnia, (les horaires, ici), Pathé Docks 76 (les horaires, ici).

La grande aventure Lego 2

Alors que les habitants de Bricksburg coulent des jours heureux depuis cinq ans, une nouvelle et terrible menace se profile à l’horizon : des envahisseurs Lego Duplo® venus des confins de l’espace qui détruisent tout sur leur passage ! Pour vaincre ces redoutables ennemis et rétablir la paix dans l’univers Lego, Emmet, Lucy, Batman et leurs amis devront explorer des mondes lointains et inconnus. Ils découvriront même à cette occasion une étrange galaxie où chaque situation est une comédie musicale ! Cette nouvelle aventure mettra à l’épreuve leur courage, leur créativité et leurs facultés de Maîtres Constructeurs…

VIDÉO. La bande-annonce de La grande aventure Lego 2 :

Où voir ce film en Seine-Maritime ?
Au Havre : Gaumont (les horaires, ici).
À Rouen : Omnia, (les horaires, ici), Gaumont Rouen Grand-Quevilly (les horaires, ici), Kinepolis (les horaires, ici), Pathé Docks 76 (les horaires, ici).

La chute de l’empire américain

« La chute de l’empire américain » : le nouveau film de Denys Arcand. (©Jour2fête.)

À 36 ans, malgré un doctorat en philosophie, Pierre-Paul Daoust est chauffeur pour une compagnie de livraison. Un jour, il est témoin d’un hold-up qui tourne mal, faisant deux morts parmi les gangsters. Il se retrouve seul avec deux énormes sacs de sport bourrés de billets. Des millions de dollars. Le pouvoir irrésistible de l’argent va bousculer ses valeurs altruistes et mettre sur sa route une escort girl envoûtante, un ex-taulard perspicace et un avocat d’affaires roublard. Après Le déclin de l’empire américain et les Invasions barbares, La chute de l’empire américain clôt la trilogie du réalisateur Denys Arcand.

VIDÉO. La bande-annonce de La chute de l’empire américain :

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À Rouen : Omnia, (les horaires, ici), Gaumont Rouen Grand-Quevilly (les horaires, ici)..

Black snake

Édouard Baer à l’affiche de «Black snake» (© JABULILE PEARL HLANZE)

Après des années passées à Paris, Clotaire Sangala revient dans son pays natal, en Afrique. Élevé par un grand-père chinois expert en arts martiaux, persuadé d’avoir été trouvé dans une poubelle, Clotaire ignore tout du glorieux passé de ses parents. Accroc aux femmes et à la vie facile, égoïste et sans ambition, Clotaire va pourtant être rattrapé par son destin… Il va devenir «Black Snake», le super-héros masqué et ultrasapé, libérateur du peuple face au dictateur Ézéchias.

VIDÉO. La bande-annonce de Black snake :

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Au Havre : Gaumont (les horaires, ici).
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Destroyer

Nicole Kidman à l’affiche de « Destroyer», dans les salles le 20 février 2019. (©Concorde Filmverleih GmbH)

La détective du LAPD Erin Bell a jadis infiltré un gang du désert californien : les conséquences ont été dramatiques. Lorsque le chef de la bande réapparaît, elle doit fouiller dans le passé pour se défaire de ses démons. À l’affiche, Nicole Kidman comme vous ne l’avez jamais vue.

VIDÉO. La bande-annonce de Destroyer :

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Paradise beach

« Paradise beach », le nouveau film de Xavier Durringer. (©D.R.)

Une équipe d’anciens braqueurs est arrivée au Paradis : Phuket, sud de la Thaïlande. Désormais commerçants, ils coulent des jours heureux. Jusqu’au jour où le diable débarque : Mehdi, condamné à 15 ans de prison lors du braquage, vient récupérer sa part du gâteau. Seul problème, il n’y a plus de gâteau. Et le diable est affamé. Le nouveau film de Xavier Durringer, avec Sami Bouajila et Mélanie Doutey.

VIDÉO. La bande-annonce de Paradise beach :

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Le bâtiment épouse le paysage, avec son toit végétalisé, sa structure en bois, son aire de pique-nique, son parking discret, caché à l’arrière, son emplacement qui ne gêne pas les oiseaux… (©Maison du marais de Sougéal).

Le Marais de Sougéal, grand de 175 hectares, est labellisé espace Natura 2 000, et Espace remarquable de Bretagne depuis 2006.

L’idée d’y ouvrir une Maison du Marais était née de la volonté d’élus : le maire de l’époque Constant Haugeard, puis Christian Couet, alors président de la communauté de communes de Pleine-Fougères (avant sa refonte), et conseiller général.

Aujourd’hui la Maison du marais est un projet communautaire du pays de Dol-Baie du Mont-Saint-Michel. Propriété de la commune de Sougéal, elle va permettre de valoriser cet espace naturel, de le faire connaître, de l’utiliser comme un outil pédagogique, en mettant en lumière les zones humides, d’où un triple intérêt touristique, environnemental et scientifique.

Implantée au coeur du marais

Il fallait un lieu réhabilité en tant que zone d’expansion de crues (il avait été question de l’assécher par le passé). Or, le Marais fait partie du patrimoine sougéalais, lieu de pacage des animaux et de chasse mis à disposition par la commune.

Le pacage est nécessaire pour l’entretien des lieux : faute d’exploitations suffisantes sur la commune, Sougéal choisit des élevages bio extérieurs. Elle a également signé une Mesure agroenvironnementale et climatique (Maec) pour du zéro phyto, et promouvoir la fauche, ceci pour cinq ans.

Les Sougéalais auraient préféré voir la Maison du marais en plein bourg : l’un des principaux financeurs, la Région, a préféré une implantation au cœur du marais. La communauté de communes participe pour le fonctionnement de la structure, et pour moins de 20 % des investissements.

Le coût total des travaux est de 670 000 €, financés par l’Europe, l’Etat, la région, le département, la communauté de communes.

« J’espère voir l’avenir du marais comme un virage touristique pour la commune, afin de développer le bourg qui est de plus en plus accueillant, notamment par une signalétique performante. La Maison du marais et la Fête traditionnelle de l’oie vont devenir les deux incontournables de la commune » déclare le maire de Sougéal Rémi Chapdelaine.

Maison du marais, Le Port, Sougéal. Ouverture pendant les vacances d’hiver jusqu’au samedi 9 mars, du mardi au samedi de 14 h à 17 h. Fermeture le dimanche et le lundi. Ouverture pendant la saison touristique : du 1er avril au 30 septembre, du mercredi au dimanche de 10 h à 13 h et de 14 h à 18 h. Fermeture le lundi et le mardi. Accès au musée gratuit.
Départ de visite guidée chaque après-midi à 15h – tarif : 4€ par personne. Visites guidées toute l’année pour les groupes: à partir de 10 personnes et sur réservation. 5€ par personne. 1 gratuité à partir de 20 personnes. Informations et réservations : 02.99.48.76.45 / 02.99.48.76.39 tourisme@ccdol-baiemsm.bzh

Les colliers ont intercepté le voleur dans sa fuite à L'Isle-Adam.

Un habitant de Sept-Sorts est condamné à 18 mois de prison, dont 10 ferme, pour usage et détention de produits stupéfiants. L’homme, âgé d’une trentaine d’années, faisait l’objet d’investigations minutieuses de la brigade de gendarmerie de La Ferté-sous-Jouarre, dans le cadre d’une enquête préliminaire.

Lors de son interpellation à son domicile, mercredi 13 février, les gendarmes ont mis au jour 178 pieds de cannabis, trois tentes de culture et le tout le matériel nécessaire à la culture de cette plante (lampes, ventilation, etc.). Récidiviste, l’individu était présenté en comparution immédiate à l’issue de sa garde à vue, vendredi 15 février.

Un nouvel avenir se dessine pour l’ancien Leclerc de Saint-Gilles-Croix-de-Vie (photo d’archives).

« L’extension d’un ensemble commercial par création de six magasins (dont un alimentaire de 850 m²) sur 3 670 m² de vente ». C’est à ce sujet que devait se prononcer la CDAC (Commission départementale d’aménagement commercial), réunie à La Roche-sur-Yon, le jeudi 7 février à 14h30.

Comme l’avait annoncé le maire, François Blanchet, en conseil municipal le 19 novembre dernier, un permis de construire avait été déposé au préalable. Et aujourd’hui, le projet se concrétise.

6 commerces et un Drive

À l’unanimité (10 votes), la CDAC a rendu un avis favorable au projet. Elle valide ainsi :

un magasin alimentaire de 850 m²
un magasin d’équipement de la maison de 1 130 m²
un magasin de sport de 950 m²
une parapharmacie de 450 m²
un magasin d’habillement de 250 m²
un commerce de pièces détachées de 40 m².

Lire l’avis de la CDAC ici.

Le rapport de la commission fait aussi référence à la création d’un Drive E. Leclerc sur 793 m² d’emprise au sol (12 pistes). Un service Drive étant déjà proposé au centre Océanis, on peut donc supposer qu’il s’agit en réalité d’un déménagement de l’existant.

Contacté à ce sujet, l’enseigne ne souhaite pas communiquer plus de détails pour le moment.

Le timing à ce stade est un peu prématuré pour diffuser des informations pertinentes.

Tout en promettant de dévoiler prochainement de nouvelles informations au sujet du devenir de l’ancien E.Leclerc. Des informations très attendues par la population.

Plus de détails dans notre édition du jeudi 14 février.

Il y a un an, un collectif d'artistes était venu transformer le bâtiment en oeuvre d'art...

Achdé, à droite, aux côté de Pierre-Marie Jamet, commissaire d'exposition.

Lors du vernissage et de la présentation par Loïc Riva, organisateur du festival la BD est dans le Pré. (©Photo Le Républicain / Michel Pradeau)

Assis, au premier rang, la relèbve... Plus absorbés, c'est pas possible...

Achdé, de son vrai nom Hervé Darmenton, est le dessinateur officiel de Lucky Luke. C’est à lui que la veuve de Morris a confié le soin de continuer de faire vivre le héros de bande dessinée connu dans le monde entier. Et si Achdé expose à Marmande, dites-vous bien que c’est un événement: «J’expose plus souvent à l’étranger qu’en France» a-t-il avoué devant le public de Marzelles, lors du vernissage de l’exposition sur le thème de «autour de Lucky Luke».

L’exposition au musée Marzelles durera jusqu’au 10 mars.

Pour ceux qui n’ont pas eu le plaisir de faire sa rencontre, il sera possible de le rencontrer lors du festival la BD est dans le Pré, à Fourques-sur-Garonne, les samedi 9 et dimanche 10 mars.

Musée Marzelles, ouvert les mercredis, jeudis, vendredi de 15h à 18h, samedis 10h-12h et 15h-18h, dimanche 15h-18h. Entrée libre.

A lire aussi : Où manger à Nérac ?

Quelques minutes après le journal de 13 heures, ce mercredi 20 février 2019, le bulletin météo de France 2 a souhaité mettre en avant le beau temps qu’il fait aujourd’hui à Cherbourg.

Une photo du port apparaît. Elle situe Cherbourg-Octeville… en Seine-Maritime. Un sujet pour lequel les Cherbourgeois ne plaisante pas !

"Comme par hasard", d'autant plus quand il s'agit de montrer que nous avons du soleil 😎 Confusion avec Octeville-sur-Mer, dont le nom pourrait laisser croire qu'il y a un port de plaisance… Mais non !

— CherbourgEnCotentin (@CherbourgEnCot) February 20, 2019

😂 Ho non, même si le Pays de Caux est joli… rien ne vaut la pointe du Cotentin ! Et pas question de refaire toute notre signalétique… 😉 pic.twitter.com/nGUBJfReln

— CherbourgEnCotentin (@CherbourgEnCot) February 20, 2019

Comme s'il ne suffisait pas que les cartes météo des chaînes nationales cachent souvent aux Français que le soleil brille dans @leCotentin 😉, voici maintenant @CherbourgEnCot délocalisée dans un autre département 🙃 @aslapix, une petite correction au JT @France2tv ce soir ? https://t.co/6I9TMtpi8s

— CherbourgEnCotentin (@CherbourgEnCot) February 20, 2019

Un sujet toujours sensible
Soucieux de l’image et de l’attractivité de la Normandie, Hervé Morin avait obtenu en 2016 de la présentatrice météo de TF1 Évelyne Dhéliat qu’elle remplace dans sa carte météo Cherbourg par Caen. Après polémique, les deux villes ont été mises sur la carte.

Les adhérents ont assisté en nombre à l’assemblée générale.

L’association des Amis du Temps Libre de Puchay, dans l’Eure, a tenu dernièrement son assemblée générale à la salle des fêtes de la commune.

Quatre-vingt-huit adhérents

Avant que Nicole Martin, la présidente, ne présente son rapport moral, les adhérents, au nombre de quatre-vingt-huit, se sont acquittés de la cotisation annuelle qui reste fixée à 25 €.

Non sans une pensée émue pour les personnes disparues et les malades, la présidente a ensuite remercié la municipalité emmenée par la maire, Thierry Mabyre, présent dans la salle, ainsi que la mairie de La Neuve-Grange, pour leurs subventions.

Elle a ensuite parlé des comptes qui sont à l’équilibre et salué l’arrivée d’une nouvelle trésorière suite à la démission de la précédente.

Pour l’année 2018, pas moins de vingt réunions ont eu lieu en cours d’année, et les activités habituelles se sont déroulées dans la bonne humeur.

Les jeux de société, les échecs, le scrapbooking (six albums photos souvenirs des années passées étaient à la disposition des curieux), pétanque et autres goûters ont fait le bonheur des adhérents.

Le programme

L’année 2019 promet également de nombreux événements : une soirée crêpes en février, un repas spectacle en mars, la foire à tout en mai, le pique-nique participatif en juin et l’animation proposée par les membres du bureau en juillet.

Après une pause en août, les Amis du Temps Libre se retrouveront en septembre. Il s’agira alors de préparer les 30 ans du club pour lesquels une journée exceptionnelle sera proposée en octobre, avec sortie spectacle et restaurant à Paris.

La soirée beaujolais de novembre ponctuera cette année qui s’annonce donc chargée de nostalgie et sans doute aussi d’émotion.

Un poste de maître nageur(euse) sauveteur(euse) est notamment à pourvoir.

Gestion, culture, services à population… La communauté de communes Châteaubriant-Derval (Loire-Atlantique) veut renforcer ses équipes. Une campagne de recrutement a été lancée.

[EMPLOI] La Communauté de Communes #Châteaubriant – #Derval recherche un·e chargé·e de gestion des #bibliothèques. Les candidatures sont ouvertes jusqu'au 05/03. Pour consulter l'offre 👉 https://t.co/aJgbHOjvm4 #emploi #recrutement #bibliothécaire #fonctionpublique pic.twitter.com/IqzDvHmF2g

— Communauté de Communes Châteaubriant Derval (@ChbtDerval) February 20, 2019

Jusqu’au 22 février pour candidater

Les postes à pourvoir sont les suivants :

Un(e) directeur(trice) du pôle Services à la population
Date limite de candidature : 22 février 2019
Un(e) responsable instructeur(trice) du Droit des sols
Date limite de candidature : 22 février 2019
Un(e) maître nageur(euse) sauveteur(euse)
Date limite de candidature : 22 février 2019
Un(e) chargé(e) de gestion des bibliothèques
Date limite de candidature : 5 mars 2019

Pour plus de renseignements : ressources.humaines@cc-chateaubriant-derval.fr.

Des formations proposées à l’année

Il est possible d’envoyer, tout au long de l’année, des candidatures spontanées pour intégrer les différents services de la communauté de communes.

Elles sont à adresser, accompagnées d’un CV et d’une lettre de motivation, par courrier à : communauté de communes Châteaubriant-Derval, 5, rue Gabriel Delatour, 44110 Châteaubriant.

Enfin, différents types de formation, principalement des formations au BAFA (Brevet d’aptitude aux fonctions d’animateur), au PSC1 (Prévention et secours civiques de niveau 1) et au BAFD (Brevet d’aptitude aux fonctions de directeur), sont régulièrement proposées :

Formations BAFA : elles ont lieu pendant les vacances d’hiver et de printemps pour les sessions de base et pendant les vacances de Toussaint pour les sessions de qualification ou d’approfondissement. Elles sont dispensées par des organismes habilités.
Formations au PSC1 : deux sessions d’une journée sont proposées aux futurs animateurs à l’issue de la formation BAFA base.
Formations au BAFD : elles ont lieu en fonction des demandes.

Renseignements : guichet.unique@cc-chateaubriant-derval.fr.

Thierry Le Potier et Alain Marjot attendent maintenant avec impatience, le début des travaux. Le magasin sera construit derrière les autres boutiques au rond-point de Berlouze, sur la RD 700 (Loudéac-Saint-Brieuc).

« J’ai 44 ans. C’est le moment où jamais pour me lancer ». C’est Alain Marjot qui parle ainsi. Boucher, il travaille jusqu’à présent dans une grande surface située à Saint-Brandan. Le métier lui plaît, mais il avait envie de voir autre chose, et surtout d’être son propre patron.

Le problème, c’est que je ne voulais pas partir tout seul »

explique-t-il. Or, un ami de longue date, Thierry le Potier, également originaire d’Uzel (Côtes-d’Armor, entre Loudéac et Saint-Brieuc), commercial, avait lui aussi envie de changer d’air, et même d’orientation. « J’ai toujours aimé les métiers de bouche, et je rêvais de créer mon entreprise artisanale » avoue l’intéressé. Lui aussi est à l’âge où l’on entreprend (42 ans). D’où l’idée de se reconvertir… Il est donc entré en formation au CFA de Ploufragan, dans la section « charcuterie-traiteur ».

Les deux ont discuté de leurs projets, se sont entendus, et ont opté ensemble pour la grande aventure…

Ouverture début septembre

Car il s’agit bien d’une aventure, mais mûrement réfléchie. « Cela fait 7 ans que j’y pense » explique Alain Marjot. Et l’aménagement de la zone artisanale de Berlouze situé au carrefour des routes Loudéac-Saint-Brieuc et Saint-Brieuc-Mûr de Bretagne a été le détonateur. C’est là qu’ils construiront leur bâtiment de 160 m2 qui abritera un laboratoire et un magasin.

C’est un emplacement stratégique, il y passe 11 000 véhicules jour ».

La zone héberge déjà notamment un garage, une fleuriste, un bar-tabac… Les travaux vont débuter autour du 15 mars, pour une ouverture prévue début septembre .

Faire « autre chose »

Les deux hommes se lancent aussi avec des idées bien arrêtées : « Nous voudrions travailler sur des produits de qualité avec des producteurs locaux. Pour cela, nous avons déjà établi des liens avec certains d’entre eux, tous de la région uzelaise. Nous voulons faire autre chose que ce qui se fait dans la grande distribution : travailler le contact avec la clientèle ; travailler de façon artisanale des produits de qualité, travailler différemment. On sait qu’il y a une demande importante sur le secteur. Les boucheries les plus proches sont éloignées : Loudéac, Plaintel, Trévé, Saint-Brandan… Et elles ne sont pas légion».