
Maryline Allain est pâtissière dans l’un des plus prestigieux restaurants de la Côte d’Emeraude.
Avez-vous un surnom ?
Au hand c’était Speedy Gonzales. La fée électrique me plaît bien aussi.
Si vous étiez un animal ?
Une nurritopssis nutricula. C’est une méduse qui serait immortelle. Je trouve ça plutôt incroyable. En plus les méduses sont très élégantes.
Si vous deviez changer une partie de votre physique ?
Sûrement mes ongles. Ils m’ont valu un autre surnom à la fac : Knacki Ball.
Si vous deviez être réincarnée ?
En un homme. Mais juste une journée pour pouvoir faire pipi debout.
Si vous deviez être un(e) super-héro ?
« Élastique-girl ». Pour pouvoir faire le repassage et la vaisselle en même temps…
« La différence entre le possible et l’impossible, c’est la volonté ».
Meilleur souvenir de sportive ?
Le 21 mai 2011. Il était environ 14 h et nous remportions, avec Léhon, la Coupe de France Départementale de hand à Paris-Bercy. Avec nos supporters déchaînés, c’était une ambiance incroyable.
Meilleur souvenir tous domaines confondus ?
Mon road trip. À 20 ans je suis partie en sac à dos découvrir la côte est des Etats-Unis. J’ai fait de merveilleuses rencontres et parcouru des paysages magnifiques.
L’événement sportif qui vous a le plus marquée ?
Le relais 4×400 féminin des Championnat d’Europe. Floria Guei fait une remontada improbable. C’est pour ça aussi que j’aime le sport. « La différence entre le possible et l’impossible, c’est la volonté ».
Quel sport est insupportable à la télé ?
Je n’ai plus de télé. Pour justement ne pas regarder l’insupportable.
Quel autre sport aimeriez-vous pratiquer ?
J’aimerais goûter au triathlon. Mon frère en fait depuis quelques années et c’est un sport qui m’a toujours impressionné. S’entraîner dans trois disciplines demande beaucoup de rigueur et d’endurance.
« La liqueur d’échalote au jus d’ail. À boire cul sec. »
Hand ou course à pieds ?
Beurre ou confiture ? Les deux bien sûr ! Je reste une grande supportrice de Léhon-Dinan qui propose du beau spectacle. Les deux « mamies » de l’équipe 2 mouillent le maillot et viennent souvent m’encourager lors de mes courses.
Principal défaut ?
Il faudrait demander à Antoine mais je ne pense pas en avoir !
Principale qualité ?
Pareil mais là je pense que j’en ai beaucoup !
Plat préféré ?
Je lance un appel à celles et ceux qui me le feront découvrir. N’hésitez pas à m’inviter pour me faire partager votre spécialité. Bien entendu, une recette déjà testée. J’apporte la Plancoët…
Fromage ou dessert ?
Je suis une grande fan de fromage. Mais je dirais quand même les desserts. Et le gâteau breton de ma maman auquel je rajoute une crème anglaise à la vanille et au rhum. Simple mais très bon.
Boisson préférée ?
En référence aux Bronzés font du ski : la liqueur d’échalote au jus d’ail. À boire cul sec.
« La vie c’est comme une boîte de chocolat, on ne sait jamais sur quoi on va tomber. »
Dernier livre lu ?
Je n’en lis jamais un seul à la fois. En ce moment, en même temps, c’est « Fou de cuisine », « Tintin au Tibet » et « Le nouveau nom », d’Éléna Ferrante.
Musique préférée ?
« Jain Makeba ». Je suis capable de la passer en boucle. Et « Muzikat », un groupe du secteur, en a fait une reprise à la harpe et la guitare. Ils sont très bons.
Film préféré ?
« Forest Gump ». Avec cette phrase : La vie c’est comme une boîte de chocolat, on ne sait jamais sur quoi on va tomber.
Plutôt resto-boîte ou pizza-télé ?
Plutôt footing-resto-dodo.
Votre destination pour des vacances de rêve ?
Marrakech avec des copines d’enfance. Un ryad, des cornes de gazelle et du thé à la menthe.
« J’aimerais rencontrer le cuisinier français Thierry Marx »
Avez-vous eu une idole ?
Émilien Couvert, ou plutôt Mimile, le meilleur chambreur de tout l’Ouest. Le roi de la gaudriole. Maintenant il faudrait qu’il pense à s’entraîner à monter les côtes…
Sportive préférée ?
Ma mère ! Un travail à temps plein. Quatre enfants, beaucoup d’activités, plutôt dynamique Et elle n’a jamais reçu de médaille.
Sportive détestée ?
Mélanie Dequé. Quand elle avait encore son genou en état de marche, elle marquait des buts incroyables. J’en étais jalouse !
Club de sport préféré ?
Léhon-Dinan’Com, le R4R, mes copains et copines de run. Et la Team Caradeuc avec qui je travaille beaucoup les abdos.
Personnalité non-sportive préférée ?
J’aime beaucoup Robert Doisneau. Il y avait eu une exposition de quelques-unes de ses œuvres à Dinan. J’ai aussi eu l’occasion de voir ses photographies à Paris. Son travail me touche énormément.
Qui rêveriez-vous de rencontrer ?
Le cuisinier français Thierry Marx. J’aime ce qu’il fait et sa personnalité. Manger au Mandarin Oriental, pour découvrir son univers, me plairait bien.
« Je passe beaucoup trop de temps sur mon téléphone. »
Où a-t-on une chance de vous croiser ?
Sur les bords de la Rance. C’est un endroit très agréable. Pour courir, faire du vélo, du kayak, se balader…
Le meilleur conseil reçu ?
Tout donner. Rien lâcher. Mais aussi agir avec gentillesse et ne pas attendre de reconnaissance.
Dernier cadeau reçu ?
Un chef-d’œuvre. L’artiste, mon neveu de 2 ans, m’a offert un collage de poisson et gribouillage splendide.
Dernière folie ?
Un magnifique vélo. Maintenant, il faut que j’enlève les stabilisateurs.
La bourde de votre vie ?
Avoir loupé mon avion à San Francisco. Et devoir repayer un billet et avoir une escale supplémentaire de 12 heures.
Votre plus grand regret ?
Je passe beaucoup trop de temps sur mon téléphone.
Votre petit plaisir plutôt honteux ?
Mettre la musique à fond dans la voiture en allant au travail. Et chanter. En ce moment, c’est Corine, « Il fait chaud ».
Et enfin une devise ?
« À vaincre sans péril on triomphe sans gloire ». Mais aussi RER : « Rigueur, engagement, régularité ».
MARILYNE ALLAIN
Né le 9 décembre 1988 à Léhon
Pâtissière au Château-Richeux à Cancale
En concubinage avec Antoine, sans enfant